A mort La Presse.

Journal de fédérastes enragés et d'anti-Québécois, disparaît, avec tes journaleux de marde!

Cette merde propagandiste, menteur, tricheur, veut le statu d'Organisme sans but lucratif, en se faisant vivre sa ''ligne éditoriale'' sur notre bras, sur mon bras de Québécois indépendantiste.

La Presse et Radio-Canada, coupez moi ca, ciboire.

Qu'ils vivent de leurs propres ailes, ou qu'ils s'effacent du terrain, ces fédérastes.

À Radio-Canada, la tarte à Anne-Marie Dussault a fait un lapsus. Au lieu de dire que La Presse recevrait 50 millions de Power Corp, elle a dit 500 millions. Ce qui est intéressant dans son erreur est sa réaction : "haha 500 millions ce serait trop beau, je voulais dire 50 millions".

Encore une belle preuve que cette femme est une militante déguisée en journaliste objective.

Plus malhonnête que ca tu meurs.

http://www.lapresse.ca/affaires/economie/medias-et-telecoms/201805/15/01-5181863-quebecor-media-une-perte-de-rendement-de-presque-3-milliards-pour-la-caisse.php

Quels bandes de sales ces fédérastes.

La Caisse fait un milliard avec son investissement dans Québécor, ils parlent de supposés pertes de rendement de 3 milliards, question que les idiots pensent que Québécor a fait perdre 3 milliards a la Caisse....Osti d'crottés de La Presse. Chiens de Desmarais. Famille d'osti de porcs sales.

On les vois dernièrement faire les laquais devant les Desmarais et repousser toute critique venant du concurrent. Ça fait pitié. De pauvres hères qui gagnent 100 000 par année et qui veulent poursuivre leur gros train de vie à écrire de la merdre hipsterienne.

Eye, ça se pense tellement sur la coche ce monde là. Tellement qu'ils pensaient que c'était un éclair de génie de transformer le média en média pour tablette, alors que personne n'achète de tablette. Cette histoire fait penser aux banques sur le bord de la faillite qui sont allé quémander de l'aide aux gouvernements lors de la crise de 2009. Responsables de leur propre faillite, ils ont prétexté une "tempête parfaite" et des "conditions extérieures" pour expliquer leur contre-performance, alors qu'ils avaient été responsables de s'être engagés dans des prêts risqués à très haut risques.

Le pire dans cette affaire là est Jean-François Lisée. Je ne peux pas croire qu'il va supporter le financement public de La Presse. Je peux te dire que je le surveille et que je suis prêt à lui retirer mon appui s'il ne fait pas ce qui faut. Pour l'instant, il me déçoit beaucoup. Encore ici, c'est Martine Ouellette qui se tient debout et me fait regretter de ne pas l'avoir choisi plus tôt comme chef du PQ.