C'est ce que semble penser un sociologue, Jean-François Simard.
http://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/521004/un-nouveau-beau-risque
Je ne partage pas son analyse. Simard est un des ces souverainistes comme ceux qu'on voit depuis 40 ans qui, après une période de tempête, ou une traversée du désert, désertent pour donner une chance à l'ennemi.