Des féminazies se plaignent de se faire troller

megalomarc a écrit:

Gilbert Du Motier a écrit:

la majorité passe son chemin et vie avec.

C'est certain.

Mais on sent quand même que le réflexe de victimisation est plus fort.

Ben voyons, l'immense majorité évite de vivre, en oui passant son chemin complètement et en ne se mettant pas dans l’œil du public sur des sujets sensibles (et pour les femmes ça semble être sur n'importe quoi).

Le réflexe de victimisation est plus fort chez les femmes ils semblent bien, mais je pense que leur expérience est réellement différente, y'a pas longtemps en gars qui a grandit en Arabie Saoudite et qui est maintenant un athée activiste dit que les messages et menace de sa femme qui est aussi impliqué son a un autre niveau que les siens, elle n'est pas plus connu.

MadChuck a écrit:

megalomarc a écrit:

Du blabla, rien de scientifique.

? Comme si y'avait un seul message scientifique dans ce fils qui avait élevé le débat a ce niveau de discours et qui rendait inutile comme examples 4 filles qui font de la radio, certaines dans des affaires aucunement controversé et pas dans le discours féminazi au quotidien.

C'est pas scientifique, mais leur récit fit avec celui de pas mal toutes les personnalitées que j'ai entendu, ça montre bien que ta pas besoin d'être un Martineau quand té une femme, 4 minutes de radio le matin, habituellement sur des sujets pas controversé et ça t'arrive.

megalomarc a écrit:

Je crois au contraire que les hommes se font insulter sur une base beaucoup plus fréquente, la différence c'est qu'ils n'en font pas tout un plat.

Parlant de science......... (comme si les hommes ne jouaient pas a la victime tous le temps)

J'ai commencé ma phrase par "je crois que",  et donc c'est clairement une croyance, qui n'a pas été ébranlée par les autres "croyances" présentées comme des faits avérés.

Je rendrais hommage personnellement à Pauline Marois. S'il y en a une qui s'est fait écœurée immensément sans jamais en faire tout un plat, c'est bien elle. On devrait nécessairement parler de l'attentat au métropolis qui la visait directement, sans que jamais elle ne baisse les bras. Je pense qu'en ce sens, elle est un modèle pour les autres.

megalomarc a écrit:

Je rendrais hommage personnellement à Pauline Marois. S'il y en a une qui s'est fait écœurée immensément sans jamais en faire tout un plat, c'est bien elle. On devrait nécessairement parler de l'attentat au métropolis qui la visait directement, sans que jamais elle ne baisse les bras. Je pense qu'en ce sens, elle est un modèle pour les autres.

Elle se câlicait bien de ce que le petit peuple pensait, et pensait d'elle. Heh!

Ceux qui aspirent au poste de PM, sont mieux d'avoir la couenne dure. Charest aussi était détesté pas a peu près et pour des binneries.

MadChuck a écrit:

megalomarc a écrit:

Par exemple, sur ce forum, je me suis fait dire quelques fois par Cantaboule que je ne dois pas faire l'amour souvent.

Mais pis ?

Je ne comprend pas pourquoi tu stocks a ce niveau la, si ce n'étais que ça y'en aurait pas tant de problème. Ton example est fort différent, tu ne t'ai rien fait dire, megalomarc le personnage que tu joues sur le forum c'est fait dire quelque chose, c'est déjà une distance que les personnes qui ne sont pas sur des message boards anonyme n'ont pas.

Pourquoi tu compares ce que Cantabile te dis sur un message board, avec quelqu'un qui te contacte dans le privée a tous les jours avec des détails pour augmenter le niveau de danger. Tu sais bien que Cantabile ne va pas t'attendre dans le parking sous terrain de ta job. Le niveau de violence est complètement différent.

Mais pourquoi tu parles de cas extrêmes ? Ici il est question de trollage. Troller c'est surtout envoyer des messages pour provoquer ou faire fâcher une personne avec qui nous ne sommes pas d'accords.

C'est le titre du sujet, les trolls. Cantabile entre dans cette catégorie.

MadChuck a écrit:

megalomarc a écrit:

Quand t'es une personnalité publique, que tu émets des opinions avec lesquelles d'autres ne sont pas d'accord, tu dois t'attendre à te faire insulter par la portion moron de la société.

Ben oui, et les insultes c'est bien différent des menaces, elles font toujours la différences il me semble. Tu parles comme si elles trouvaient ça dure et quittait juste pour des petites insultes.

N'est-ce pas le cas ? Elles se plaignent de se faire attaquer sur leur apparence, aussi des insultes à connotation sexuelle. Ce sont de petites insultes. Elles disent que les femmes en sont victimes plus que les hommes.

megalomarc a écrit:

Mais pourquoi tu parles de cas extrêmes ? Ici il est question de trollage. Troller c'est surtout envoyer des messages pour provoquer ou faire fâcher une personne avec qui nous ne sommes pas d'accords.

C'est le titre du sujet, les trolls. Cantabile entre dans cette catégorie.

Ce que j'essais d'explique c'est que ce n'est pas les cas extrêmes mais la norme pour les femmes sur l'espace public.

Le titre du sujet tu la sortie la journée que des femmes ont annoncés quitter la vie public parce que celle-ci étaient trop dure, c'est toi qui projette que c'est parce que ce n'est qu'elles n'en peuvent plus des petits trolls, ma réponse a t-on sujet c'est que tu as une vision éronée de la situation. Ces femmes qui quittent ont pour la majorité eu bien plus que de simple petites insultes en ligne.

MadChuck a écrit:

N'est-ce pas le cas ? Elles se plaignent de se faire attaquer sur leur apparence, aussi des insultes à connotation sexuelle. Ce sont de petites insultes. Elles disent que les femmes en sont victimes plus que les hommes.

En autre, mais c'est beaucoup plus les menaces a caractères sexuelles dont elle parle (du moins dans 100% des fois que j'ai entendu parler des femmes sur le sujet elles ont toutes faite une distinction entre simple insultes et menaces sur leur intégrités physique qui embarquait dans leur vie personnelles, toute l'ont fait, Isabelle Maréchale aussi a fait la différence, ça la gosse bien plus d'avoir eu besoin d'un gardien de sécurité pour se rendre a son char que les petites insultes), pas les insultes genrée...

Je doute grandement que ça soit généralisé comme tu le dis.

Lili Bisvert par exemple, s'est fait "harcelée, et elle donne un exemple :

Citation :

Du harcèlement sur Internet, Lili Boisvert en a subi.

« Il y a eu de l’épuisement à certains moments. En ce moment, moi, ça va bien », a indiqué l'animatrice de l'émission Sexplora, en entrevue à l'émission 24/60.

« Dans mon cas, c’était beaucoup à connotation sexuelle », a-t-elle relaté, en donnant l'exemple d'un homme qui lui a décrit ce qu'elle devait faire pour l'exciter sexuellement.

« C'est un cas de mansplaining », a-t-elle souligné.

Haha ! Elle anime une émission, sexplora. Déjà on s'entend que les chances de recevoir des messages érotiques augmentent en flèche. Je ne dis pas que c'est correct, je dis juste qu'elle devrait s'y attendre.

Secondo, elle donne l'exemple d'un gars qui lui décrit ce que ça lui prend pour l'exciter sexuellement. À la limite, c'est dans le sujet de son émission. Qu'est-ce qu'il y a de harcelant là dedans ?

C'est tout ?

C'est une des filles qui monte aux barricades pour dénoncer ce "phénomène" (qui a tout l'air d'une fausse nouvelle), et tout ce qu'elle donne comme exemple c'est ça ?

Très peu convaincant.

Non c'est pas tout, elle a pris au dessus de 200 captures d'écrans, tu cites juste un exemple qu'elle donne et dit c'est tout ?:

Un homme qui dit qu’il sait où j’habite. Qui mentionne effectivement le nom de ma rue. [...] Depuis janvier, j’ai pris plus de 200 captures d’écran. Mon dossier « harcèlement » est bien en vue sur mon bureau d’ordinateur et je continue de le garnir.

Y'avait des menaces de viols qui allaient un peu plus loin avec des petits détails comme l'adresse personnel, qui les font basculer sur une marche plus haute en détresse causé.

Souvent la police leur disent de ne pas parler de leur stalker dans les médias (pour les plusieurs ça les exciteraient et serait en partie ce qu'il recherche)

Je te parle de cet article:

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1019881/liberte-expression-femmes-brimee-trolls-lili-boisvert-onu

Une fille m'enverrait une message pour me décrire ce que ça lui prend pour l'exciter sexuellement, je lui dirais probablement merci.

Ça vous dérangerais vous autres ?

Vous auriez le réflexe d'appeler ça du harcèlement ?

Vous nommeriez ça du "vaginsplaining" ?

megalomarc a écrit:

Je te parle de cet article:

http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1019881/liberte-expression-femmes-brimee-trolls-lili-boisvert-onu

L'article est un petit textes avec 2-3 phrase, qui étaient une entrevue donné a la suite de cet article sortit cette journée la:

http://urbania.ca/244756/lepuisement-femmes-publiques/

Les chroniqueuses, animatrices et artistes doivent accuser le coup sous les commentaires méchants sur leurs physiques, sous le mansplaining et le paternalisme incessant, le girl-on-girl hate, le mépris, le harcèlement sexuel, l’objectification, les appels au suicide, les menaces de viol et autres violences physiques.


Encore une fois tu inventes un monde dans lesquels elles dénoncent qu'une petite fraction du problème qu'elle dénonce, le moins pire au lieu de regarder la situation en sont tout. Pourquoi tu fais ça au juste ?

Citation :

Une fille m'enverrait une message pour me décrire ce que ça lui prend pour l'exciter sexuellement, je lui dirais probablement merci.

As-tu écouter l'entrevue au complet ?, ou juste lit le petit résumé, c'est pas dans le sens de recevoir des description qu'en général ce que ça leur prend pour les exciter sexuellement comme une source d'information potentiellement pratique pour son émission.

C'est des gens qui lui disent comment prononcer des mots et comment agir a l'écran pendant son émission pour les exciter sexuellement et quoi éviter qui les turn-off.

Je penses aussi qu'un homme qui recevrait ça de femmes n'en serait pas autant dérangé, mais je ne sais pas si je tomberais dans ce f_éministe égalitaire pousser a l’extrême que tous est pareil, que la différence entre les genres n'existe pas, etc...

Bien des expériences sont différentes quand c'est une femme que quand c'est homme, par nature ou l'état de la société actuel et doit être pris en compte.

Si une femme saoule flirt avec toi dans un ascenseur a 3 heure du matin avec aucun témoin, de manière assez ouverte et avec du touché et tout, ça va être une expérience très différente que si tu inverses les sexes. Dire que toi ça te dérangerait pas ou qu'un homme en général n'en serait pas dérangé rend pas une situation automatiquement correct.

Lili Boisvert a écrit:

Déjà, les réponses paternalistes aux témoignages des chroniqueuses fusent: «elles ont qu’à pas lire les commentaires», «elles ont qu’à bloquer les trolls»,«elles sont pas faites assez fortes pour ce métier», «bof, ça arrive à tout le monde de recevoir des commentaires pas fins».

Bullshit.

Les femmes qui prennent la parole publiquement reçoivent une shitload de marde de plus que les hommes. En fait, les hommes sont globalement épargnés. Ou plutôt, pour être plus juste, les hommes blancs sont globalement épargnés.

haha. Les hommes blancs sont épargnés. C'est une joke cet article.

Lili Boisvert a écrit:

Oui, mais pas que. Les trolls qui prennent plaisir à harceler les femmes publiques – et tout particulièrement les féminazis – sont évidemment une des principales causes de l’épuisement professionnel de ces dernières.

Les chroniqueuses, animatrices et artistes doivent accuser le coup sous les commentaires méchants sur leurs physiques, sous le mansplaining et le paternalisme incessant, le girl-on-girl hate, le mépris, le harcèlement sexuel, l’objectification, les appels au suicide, les menaces de viol et autres violences physiques.

Ici elle mélange les simples commentaires qu'elle juge "paternalistes", et les menace de viol.

On ne sait pas trop où elle s'en va avec ça. Ça laisse le sentiment qu'elle en met plus que le client en demande. Qu'elle exagère la gravité pour mousser son agenda politique féminazi.

Lili Boisvert a écrit:

Mais pour certaines, ce n’est pas que cela la source du problème. Car il faut aussi composer, par-dessus le marché, avec les tirs amis. Enfin, les tirs venant de pairs qu’on a eu la candeur un instant de croire amis, parce qu’on est tombé dans le panneau du «bon gars progressiste qui ne ferait pas mal à une mouche féminazi», et qui, pourtant, saisi la première occasion de sauter à la jugulaire d’une collègue féminine à la voix un peu trop forte afin de protéger le boysclub.

On dirait vraiment une féminazi un peu perdue. Elle voudrait toujours être flattée dans le sens du poil, être entourée d'hommes qui sont des bénis oui oui sans opinion propre. Sinon, ce sont des méchants qui "sautent à la jugulaire de femmes afin de protéger le boysclub".

De toute évidence, elle considère ces "tirs amis" comme une partie du problème du trollage.

C'est parce que les féminazis n'aiment pas être contredites. C'est une chose de plus qu'il faudrait contrôler. Parce ça leur laisse un sentiment de malaise. C'est plate.

En gros, ça sonne vraiment comme une personne qui serait dans un secte. Elle utilise le vocabulaire très particulier au féminazisme et intègre toutes sortes d'affaire dans son article qui parle finalement plus ou moins du trollage lui-même. Je suppose qu'elles se comprennent entre elles, dans leur safe space déconnecté de la réalité.

La troll - Nathalie Roussy a écrit:

Je vais donner deux exemples pour démontrer la faiblesse de la démarche intellectuelle de la blogueuse féminazi. ... je vois clairement d’après ces deux exemples qu’elle manque beaucoup de jugement. Judith Lussier, dans un texte publié en 2016 dans le journal Metro, «Pas homophobe hein», nous donnait des exemples d’homophobie. En plus de m’avoir nommé en exemple , très mauvais exemple, car je suis une personne ayant un grand respect pour les droits et libertés, sans parler du fait que je suis moi-même une personne du groupe LGBT, Judith Lussier a écrit :

« Un autre «cas isolé», cette fois, s’est produit dans une clinique spécialisée en réassignation sexuelle d’Ahuntsic. Un individu est entré dans la clinique armé d’une hache et d’une machette et y a mis le feu, mais le SPVM hésite à qualifier de crime haineux ».

Où était la preuve qu’on avait affaire à un crime haineux? Aucune preuve, mais bienvenue dans le monde de champ de mines homophobes et sexiste de Judith Lussier qui confond une hypothèse avec une certitude basée sur des faits. Et le pire dans l’histoire c’est qu’une  transgenre a été arrêtée. Il semblerait que l’hypothèse la plus plausible est qu’elle était mécontente de sa chirurgie de changement de sexe.

http://www.contrepoids.com/2017/03/04/judith-lussier-et-les-trolls-comme-moi/

Franchement, cette armée de féminazis ne pourrait pas utiliser leur audace et leur front de bœuf pour autre chose que des causes insignifiantes ?

On dirait des Donald Trump féminins.