Des choses pour surprendre et étonner

Rainer-Maria Rilke est morte de la façon hallucinante.

Elle est morte suite aux complications d'une "piqûre de rose" qui dégénéra en leucémie.

Dans ses dix lettres à un jeune jeune poète, elle parle de l'art comme une manière de vivre plutôt que comme une création. J'aime beaucoup cette vision de l'art qui ferait de chacun un artiste de sa vie.

Rainer Maria Rilke, sans tirets, c'est un gars...

Darwin est une salope.

GrosPet a écrit:

Darwin est une salope.

On peut te comprendre d'avoir de la rancune envers la sélection naturelle.

jaimelesfruits a écrit:

GrosPet a écrit:

Darwin est une salope.

On peut te comprendre d'avoir de la rancune envers la sélection naturelle.

OUCH AH BEN CA C BON

Gaucho a écrit:

Rainer-Maria Rilke est morte de la façon hallucinante.

Elle est morte suite aux complications d'une "piqûre de rose" qui dégénéra en leucémie.

Dans ses dix lettres à un jeune jeune poète, elle parle de l'art comme une manière de vivre plutôt que comme une création. J'aime beaucoup cette vision de l'art qui ferait de chacun un artiste de sa vie.

J'Espère que c'est pour raison de paresse ou de poésie que tu as aussi mal résumé sa mort.

Certains pourraient vraiment croire que la piqûre de rose à engendré une leucémie.


Mais c'est vrai que la coïncidence à quelque chose de poétique.


La piqûre de la rose...

La piqûre de la poésie, par celle-ci refroidit.
La beauté qui éblouie, la beauté qui ravie, la beauté qui meurtrie.
La délicatesse épineuse qui rudoit, le benoît.
La pétale parfumée il a caressé.
Son épine, hélas,donnée mauvaise mine.
Les blancs soldats se sont entretués, aveuglés par tant de beauté.
Ils ont consumés sont corps et il en est mort.
Il a jadis accusé la rose et encore aujourd'hui, la pauvre est victime de la prose.
Pour cause.

On a un gros problème avec les genres sur ce fil: Rilke était un homme et non une femme, et il faut dire un pétale et non une pétale (réf. La pétale parfumée il a caressé).

Parlant de mort bizarre.

La plus comique est celle d'un richissime homme d'affaires de New-York, dont la survie dépendait de son respirateur artificielle. La femme de ménage arrive et elle le débrache pour brancher son aspirateur... On imagine la scène!