Ce soir, on va danser!!!

Ce soir on va danser dans les bayous de la Louisiane; moi avec Jojo, Purif avec Hannah, Poule avec Hugin et Dabsty avec Juju...

https://www.youtube.com/watch?v=DMTcNEpx7n8

Gaucho a écrit:

Ce soir on va danser dans les bayous de la Louisiane; moi avec Jojo, Purif avec Hannah, Poule avec Hugin et Dabsty avec Juju...

https://www.youtube.com/watch?v=DMTcNEpx7n8

Hannah et Jojo font toutes deux partie de mon harem (dont l'intendante est d'ailleurs Hugin, qui rôde avec sa trique dans les couloirs, fracassant le crâne des inconscientes qui préfèrent s'évader que subir plus longtemps mes assauts). Moralité : je danse avec Jojo, Annie et Hugin, et toi avec Juju et Dabsty.

Et en passant, pour moi ça sera plus un argentin que cette musique de bouseux décatis.

me foutez pas dans vos merdes

jujusilb a écrit:

me foutez pas dans vos merdes

Ça serait contre-productif puisque tu est déjà dans les tiennes.

jujusilb a écrit:

me foutez pas dans vos merdes

La merde, tu te tiens seul dedans, de par ta nature, ton sang, ton éducation et ton manque de volonté. Si nous cherchons à t'en sortir par la danse, tu ne peux en vouloir qu'à nos trop grands coeurs. Je te laisserai pas tomber, va ...

je ne suis pas ton "soums"
ne te crois pas obligé de te la jouer superieur avec moi merci...

On est tous curieux de savoir quel coup de super couillon Purif aurait fait a Juju!!!

Peut-être sa réaction épidermique...

jujusilb a écrit:

je ne suis pas ton "soums"
ne te crois pas obligé de te la jouer superieur avec moi merci...

Je ne me la joue pas. Je le suis. Et tu le sais, et c'est pourquoi tu as préféré fuir et t'écarter de moi dès que tu as subodoré que je risquais de te prendre ce qui comptait pour toi. Chacune de mes fibres te vaut 300 000 fois, et tu le sentiras tant que tu seras à mon contact. Aucun jeu là-dedans, mon biquet.

Arbiter Elegantiarum a écrit:

jujusilb a écrit:

je ne suis pas ton "soums"
ne te crois pas obligé de te la jouer superieur avec moi merci...

Je ne me la joue pas. Je le suis. Et tu le sais, et c'est pourquoi tu as préféré fuir et t'écarter de moi dès que tu as subodoré que je risquais de te prendre ce qui comptait pour toi. Chacune de mes fibres te vaut 300 000 fois, et tu le sentiras tant que tu seras à mon contact. Aucun jeu là-dedans, mon biquet.

Le berger à besoin de ses brebis, les brebis ont besoin de brouter de l'herbe. Le chef du troupeau ce n'est pas le maître tenant la houlette mais le chien et les clôtures entourant les pâturages.Lorsque l'agneau s'échappe, c'est le gardien qui panique.En voyant le regard affolé du berger, le mouton réalise alors qui contrôle la geôle.Si tu as besoin de chèvres dociles à tes côtés, cher monsieur Séguin, c'est uniquement pour dissimuler ton incapacité à te nourrir de ta propre essence. Ton puit est tarri même la misère t'a abandonné.Tu cherches donc à détruire les autres pour te sentir vivant.Tu es supérieur, je te l'accorde, dans le sens où tu es haut perché,Seul sur ta branche.Tu quémandes en silence la potence en débusquant l'impotence et comme maigre pitance tu récoltes les restes d'égos déjà entamés.Tes victimes passent , se lassent et te dépassent.Car tôt ou tard, elles réalisent que ta supériorité, est ton unique alliée. Ta proie à jadis mis le genou à terre, une fois envolée, tes jambes sont sciées.Et dans un dernier élan de désespoir, tu scandes à qui veut bien croire, il est parti comme un voleur car je lui suis supérieur.

Arbiter Elegantiarum a écrit:

jujusilb a écrit:

je ne suis pas ton "soums"
ne te crois pas obligé de te la jouer superieur avec moi merci...

Je ne me la joue pas. Je le suis. Et tu le sais, et c'est pourquoi tu as préféré fuir et t'écarter de moi dès que tu as subodoré que je risquais de te prendre ce qui comptait pour toi. Chacune de mes fibres te vaut 300 000 fois, et tu le sentiras tant que tu seras à mon contact. Aucun jeu là-dedans, mon biquet.

tu as sans doute raison c ca...
reste dans ton delire....

Arbiter Elegantiarum a écrit:

Huginmunin a écrit:

Le berger à besoin de ses brebis, les brebis ont besoin de brouter de l'herbe. Le chef du troupeau ce n'est pas le maître tenant la houlette mais le chien et les clôtures entourant les pâturages. Bien au contraire. Le chef du troupeau, c'est celui qui maîtrise les brebis au point qu'il n'a plus à s'en faire et peut même déléguer le soin de les garder. Le vrai Maître de l'autre est celui qui peut affranchir son essence de l'autre. Le maître des brebis peut perdre ses brebis, il fera charpentier le lendemain. Le chien et les clotures dépendent des brebis. Quand il n'y a plus de brebis à garder, le chien berger meurt de faim, et les clotures s'écroulent. Je vois dans cette intervention un contresens lourd. Lorsque l'agneau s'échappe, c'est le gardien qui panique. Non, c'est le chien. Le gardien calcule que cette semaine il a perdu 6 brebis, et qu'il a d'habitude une moyenne de 8. Le chien, lui, sait qu'il va se faire savater et peut-être crever. Le Maître est celui qui peut interpréter, se détacher, pour vivre sa propre vie. En voyant le regard affolé du berger, le mouton réalise alors qui contrôle la geôle.Si tu as besoin de chèvres dociles à tes côtés, cher monsieur Séguin, c'est uniquement pour dissimuler ton incapacité à te nourrir de ta propre essence. Je vois dans l'Homme un animal social. L'essence de l'Homme seul est pauvre, et ne contente que quelques masturbateurs vaguement nitzschéens, au nombre desquels je reconnais avoir été, il y a quelques années. Je suis maintenant un homme, ou peu s'en faut, et jouit de mon contact avec les autres, qui m'éloigne sans cesse plus loin de mon essence primaire (qui consiste essentiellement à prendre des saloperies et baiser qui je peux), pour construire. On ne s'accomplit vraiment qu'en se fuyant : la vie de l'Homme est un exil. Ton puit est tarri même la misère t'a abandonné.Tu cherches donc à détruire les autres pour te sentir vivant.Tu es supérieur, je te l'accorde, dans le sens où tu es haut perché,Seul sur ta branche.Tu quémandes en silence la potence en débusquant l'impotence Potence ? Potence comme le "pouvoir" (l'antonyme d'impotence serait plutôt "puissance"), ou comme la pendaison ? Dans l'un et l'autre cas, tu te trompes, je me trouve de plus en plus efficace, et de plus en plus vivant. J'envie, projette, et, bien souvent, réussis. Pas toujours. Assez pour avoir envie de continuer, et dans le fond, c'est tout ce qui importe. et comme maigre pitance tu récoltes les restes d'égos déjà entamés. Tu y vois une maigre pitance, et moi un festin de roi. Tes victimes passent , se lassent et te dépassent. Quel vision sinistre d'un parasite que je ne suis plus depuis longtemps ... Il y a tellement plus intéressant que les victimes ! Car tôt ou tard, elles réalisent que ta supériorité, est ton unique alliée. Ta proie à jadis mis le genou à terre, une fois envolée, tes jambes sont sciées.Et dans un dernier élan de désespoir, tu scandes à qui veut bien croire, il est parti comme un voleur car je lui suis supérieur. Je te donne raison sur ce point : la perte d'une victime est toujours douloureuse. Parler de désespoir est un peu fort : en fin de compte, rien n'est plus facilement remplaçable. Il convient juste de me méfier de l'habitude et de ma propension à un attachement affectif parfois un brin déraisonnable. J'aime posséder, collectionner. Et comme tous les collectionneurs, je souffre d'une difficulté majeure : Il est de plus en plus dur de gagner ce qui manque, et de plus en plus simple de perdre ce qu'on a. Ca fait tout de même partie du charme de l'activité, et je m'en porte relativement bien. Je te remercie néanmoins du soin que tu prends de mon actualité et t'assure que je suis bien loin du désespoir que tu sembles imaginer chez moi. Je suis aimé (banal au possible), et crois aimer. On me donne (ce à quoi j'étais habitué), mais je commence à rendre. Et tout pour moi s'éclaire d'un sens nouveau. Je ne peux que déplorer l'éloignement de certains que j'appréciais à leur façon, dont Juju, et sur qui j'ai ressenti l'envie de taper. Mais avec ou sans eux je vivrai, pour tous ceux (ou plus exactement celles) qui me sont plus chères que ne l'ont jamais été mes "victimes", comme tu te plais à les appeler.

Content de te revoir, sweetie.

Tu diversifies tes passe-temps, tant mieux, dansons à présent.