Conte Moderne

Inspiré par l'élan créateur de Gaucho , je vous propose ce conte claver de mes propres mains et sortit (Bien entendu) tout droit de mon imagination débridé .

Ps : Bravo aux admins pour cette censure hilarante ^^ . Est ce qu'il y a des gens qui se sont déjà fait avoir XD ? J'ai bien cru que ma mise en page était foutu :-o



Il existe au dessus et en dessous des océans un monde maintenu par une étrange
magie nommé G00gle . Maintenant il y a en ces lieux un grand désert nommé Anonymat
dans lequel on peut parfois trouver certains oasis . Ore c'est auprès d'un de ces
oasis bleu azure que mon histoire se déroule encore aujourd'hui .

Au commencement de mon récit , il y avait cinq ménestrels qui , après un long périple ,
décidèrent de s'installer sur les rives de cet oasis pour y divertir les voyageurs et
ainsi gagner leur pain . Leurs talents étaient grands et au fil des ans , il fût coutume
pour moult voyageurs d'y faire un détour afin d'en profiter .

Cette pratique étant bien connu des voyageurs , certains marchands flairant la bonne
affaire s'installèrent , eux et leurs familles , à leurs tour en cet endroit . Au fil
du temps c'est ainsi que le bivouac se mua en petite bourgade fort sympathique . Les
artistes bien aimés furent spontanément élu comme chefs .

" Pour autant que vous ne gêniez pas celle d'autrui " , dirent-t'il , " votre
liberté devrait être totale ; ceci se doit d'être la seul loi . " . Ils firent
construisirent un immense Oraton dans lequel tous et chacun étaient libres de dire
tout ce qu'ils voulaient pour autant qu'ils écoutaient les dires des autres .

Toute sorte de créature magique et monstres trouvèrent aussi refuge en ce lieu
de paix comme il n'en existait aucun autre . La bourgade ce mua en ville maintenant
forte de plusieurs milliers d'habitants . Certains , comme dans toute agglomerat de
cette ampleur , se mirent à abuser de leurs liberté empiétant sur celle d'autrui .

Les ménestrels-rois n'eurent d'options que d'élirent parmi les meilleurs orateurs
des magistrats à qui l'on octroya des pouvoir magique afin de faire respecter
l'unique loi de la cité . Ils en firent alors bonne escient et ce fût qu'avec peu
de mal qu'il parvenèrent à ramener la quiétude usuel à ce lieu .

Les idées foisonnèrent de l'Oraton et atteignirent , pour le grand plaisir de tous ,
les pays voisins . Il fût alors coutume dans les autres régions de construire toutes les
estrades dans la direction de l'Oraton afin de profiter au maximum de la sagesse y
émanent . Ainsi , l'art oratoire devin religion et les magistrats des grands prêtres .

Infortunement , prenant conscience de l'ampleur que prenaient leurs postes et voyant
l'intérêt grandissant que portaient les dieux de G00gle à leurs personnes , certains
grands prêtres se tournèrent vers un art oratoire plus lugubre et cherchant des disciples
enseignèrent , en secret , leurs sortilège perverti à certaine gens de la capitale .

Après tout ? Si l'Unique loi leurs donnait l'ultime liberté d'exprimer ce qu'ils
pensait , elle ne faisait non plus mention qu'ils ne pouvaient pas garder à leurs
propre compte certaine pensées . C'est ainsi que dans le secret , si ce n'est même
le mensonge , ils s'aménagèrent dans des endroits clés de la cité des caches .

Certains , parmi les plus clairvoyants de G00gle se mirent à sentirent de sombres
oracles . C'est ainsi que des seigneurs voisins encouragé par de sage conseillers
prirent de concert une action . Ils exigèrent des ménestrel des demandes qu'ils
croyaient impossible d'obtenir afin de les pousser à réagir .

Les bons ménestrels , à grands regrets , durent fermer les portes de l'Oraton .
Mais les prêtres maléfiques parvinrent avec leur art sombre et je ne sais quel
sortilèges à faire miroiter aux candides ménestrels une solution pour se plier
aux exigences en augmentant du même coup leurs pouvoir .

Maintenant , sur les marches de l'Oraton , on peut entendre les reste d'un jadis
grand peuple scander les même psaumes jours après jours pensant faire preuve de
liberté . Et les magistrat chassent , l'un après l'autre , les derniers orateurs
qui connaissent encore l'Art vierge de souillure .

Tous ceci , brave lecteurs , n'est pas une histoire sombre mais bien un hymne
à l'espoir . Car beaucoup parmi ce peuple rêvent encore d'un héros qui serait
capable de s'opposer au pouvoir destructeur des magistrats . On rumeur aussi que
certains des magistrats on su garder leur droiture et qu'ils œuvrent toujours en ce sens .

Iluvalar, j'ai lu ton texte au moins 4-5 fois pour bien le saisir. Ce n'est pas qu'il était mal écrit, c'est qu'il est dense, voire condensé, traçant l'histoire d'un forum de ses origines à aujourd'hui de manière allégorique, du bivouac à la grande ville, avec les aléas du temps et les jeux de pouvoir.

Faut écrire plus. Chacun a son style et ses idées originales. Et tout cela, c'est de l'art.

Je suis heureux que ca te plaise , si j'avais su que tu prendrais le temps de le lire 4-5 fois , j'aurais pris un peu plus de temps pour rendre le tout plus homogène . Ça a été ecrit tout d'un jet ( après 30 minutes de méditation sur l'impermanence XD ) .

Où a tu été pêcher que ce texte représente relativement bien mon point de vue sur un quelconques forum ? Je tient a répéter que cette histoire est spontanément sorti de mon imagination et qu'il est en aucun cas lier a un fait réel !!! Et de ce fait n'as aucun lien avec un hypothétique pouvoir qu'il me serait ( tout aussi hypothétiquement ) interdit de critiquer .

Moi mes idées son clairs je les écris en quelques mots tandisque d'autre doive écrire un texte moi seulement 2 liognes mais est-ce vraiment le fond de ma pensé c'est a vous de jugé mais le jugement est simple pour la plupart des gens jugé et vous serai jugé ne jugé pas et vous serai jugé donc aller chier et JUGÉ!

Poule a écrit:

Moi mes idées son clairs je les écris en quelques mots tandis[ ]que d'autre doive écrire un texte moi seulement 2 liognes mais est-ce vraiment le fond de ma pensé c'est a vous de jugé mais le jugement est simple pour la plupart des gens jugé et vous serai jugé ne jugé pas et vous serai jugé donc aller chier et JUGÉ!

Soyez assuré , très cher poule , je j'apprécie grandement votre style particulier . Corrigez moi si je ne me trompe , mais vous semblez sous-entendre que vous auriez les talent littéraires pour condenser et ce sans perte de détails l'ensemble de ce conte en seulement deux lignes !? Me voilà terriblement intrigué , mon ami , puisqu'à ce jour j'aurais cru la chose impossible ;-) .

5 personnes font un centre de villégiature hahaha!!!!
tout le monde est heureux! Des nouveaux arrive avec des idées sogrenue la chicane pogne parce que y'on des idées différente alors on mets des polices qui font reigner l'ordre mais la on chiale que la seul règle était la liberté d'expression.


OK ca a pris 3ou4 lignes mais j'ai rajouté des petits détails

Mon conte est un peu plus complexe que ça poule ^^
Mais Bravo ! comme résumeur tu compétitionne avec les plus grands mage ! m(_ _)m .

Iluvalar, ne perds jamais ton imagination complètement débridée! Ne résumes pas trop tes histoires! J'aime trop tes théories qui n'en finissent plus d'être détaillées et parfois compliquées....

Poule c'est une autre histoire! Chacun son style. Poule a le talent de nous garocher tout en pleine face avec aplomb! ET c'est comme ça qu'on l'aime...

Et des robots sont venu et ont tuer tout le monde en leurs faisant écouter toute les séries de vIrginie une après l'autre sans arret

Fin (ça c'est moderne)

De nombreuse lunes passèrent impatiemment là où le temps ne se compte pas ainsi
Sans que rien ne viennent interompre la quiètude des scorpions peuplant les rivages
Si ce n'est les palmiers sous lesquels ils mendiaient leurs ombres qui avaient cru d'un pied.
L'oasis conservait la teinte du ciel, quoique que l'on s'alarmasse qu'il est viré au poupre.

Vers les milieux de mon histoire, il y avait d'abord 5 ménestrels qui, après un long repos,
Reprirent leurs besaces pour embrasser une vie de voyageur en quittant les rives de cet oasis.
Leurs talents était grand, mais au fils des ans, il n'y avait plus de quoi là gagner son pain
Tant les voyageurs qui n'était las de leurs détours passaient pour tout sauf ouïre une mélodie.

Les voyageur n'y venait guerre plus que pour le commerce, fairant la bonne affaire puisque
La cité n'étant pas autonome, elle devait constament grapiller ça et la pour les vivres.
On rénova les bâtiments si bien que les quartiers les plus sympathiques devinrent de vrai
Forteresses bourgeoises austère. Personne ne s'inquiéta de l'absence d'héro populaire.

"On peut empièter sur la liberté de n'importe qui" disait-on "L'essentiel c'est de ne pas
S'en froisser si on accapare la notre; Ça fonctionne ainsi depuis le début". On rénova
Le vielle oraton décrépit en immense mine de cuivre, pour que ceux n'ayant pas réussit
Leurs carrières puissent se soumettre au service sans qu'on ait à en discuter d'avantage.

On chassa de la cité tout les créature maléfique et autre immondice de la sorte.
C'était la façon de faire dans toutes les agglomérations. On pu enfin démolire ces abjectes
huttes et les remplacer par de jolie fontaine qui n'heurte point le sens esthétique des
passants quoi que de moins en moins nombreux. Il n'y avait plus personnes pour se plaindre.

Les prêtres-souverains s'auto-congradulaire de leurs bien meilleurs gestion qu'avant.
Il s'octroyèrent des augmentations exceptionnel pour être enfin parvenue à faire regner
L'unique loi de la cité. Ils purent tous se prendre de somptueuse vacance sachant que
rien ne pourrait plus ébranler le calme plat des rues autrefois noir de monde.

Toutes les grandes découvertes étaient déjà faites et les idées loufoques des pays voisin
n'atteignaient plus la quiètude de l'endroit. Ils avaient afin cesser d'épier les moindres
Gestes qu'on prenait dans la ville pour tirer profit de l'incroyable supériorité intelectuelle.
Ainsi, on pu enfin pratiquer la magie au grand jour et faire taire ces rumeurs de miracle.

Évidemment, quelque mendiants prenant ombrage de l'aura légendaire autour des mages-seigneurs,
Qui était incontesté dans tout l'étendu de G00gle. Il y en eu pour s'attacher encore aux
candide baliverne sur un destin plus grand. Ils cherchaient vainement à trouver une oreille
Pour leur rêve caduque d'illuminé parmis les honnêtes villageois qui n'en avait rien à faire.

Et puis quoi encore ? L'unique loi n'etait elle pas assez clair sur le fait qu'ils devaient
se taire ? Elle etait pourtant indiscutable sur le fait qu'on devait accepter sans se plaindre
Les idées maintes fois démontrer de la majorité. C'est ainsi qu'on en faisait des exemples
publique et qu'on aménagea de plus grands cachots au endroits les plus reculés de la cité.

Rare, parmis les peuples de G00gle était ceux qui gardait encore une once de bons sens et
de logique. C'est ainsi qu'on ne garda contact que parmis les seigneurs des contrées voisines
qui savaient garder le contrôle. Ils ne demandaient rien à la mégapole, et la mégapole ne leur
demandait rien en retour. C'est uniquement comme ça qu'on peut assir son pouvoir souverain.

Les excellents mages, pour le bien de tous, filtrerent les entrées et sortie à la capitale
Pour qu'aucun illuminé malvenu ne puisse corrompre de coup l'excellent résultat, qu'on savait
pouvoir atteindre que par le dur labeur des honnorables citoyens. Une solution simple qui
était bien évidente et qui ne pouvait que plaire. Les mages accomplissaient leur devoir.

Aujourd'hui, à l'entrée de la mine, le silence paisible reigne, là où jadis, des idiots
ne faisaient que bruit et chaos jour après jours pensant jouir d'une illusoire liberté.
Et nos grands mage peuvent prendre des vacances mérités , maintenant que par leurs efforts
ont fait triompher l'ordre, sans qu'il que ne plane sans cesse ces élans d'idées incongrues.

C'est la suite du conte initial, fake ça fait pas mal long à lire s'il faut relire le premier message.

Le plus beau passage est celui des scorpions qui mendient de l'ombre au pied des palmiers.

Pour le reste, c'est nébuleux au max. En somme, du Ilu tout craché.

J'ai un peu pensé au Dôme en lisant ça.

J'avoue que ça commence à faire long, mais pour savourer pleinement, il faut tout lire, voir même lire côte à côte. Je crois que le conte cache une moral que je peine moi même à en saisir l'ampleur. Je ne pourrais pas l'expliquer mieux moi même.

En somme, la boucle est bouclée.