Les Pitbulls

Gilbert Du Motier a écrit:

Il n'y a aucune raison logique de posséder un animal.

Biensur que si. La compagnie pour ne nomer qu'elle.

Question intéressante que tu poses Megalomarc.

Mais en ce sui me concerne la liberté des animaux est une notion jusqu'à mreuve du contraire maladroite. La notion de liberté me semble indissociable de la notion de libre arbitre. Hors les animaux n'ont pas de libre arbitre et ne sont mue que par leur instinct.

L'ours n'a pas de liberté en tant que tel. Par contre tu peux revendiquer l'épanouissement animal, le respect de la vie animal poir s'opposer à sa possession en milieu urbain mais dans ce cas la question se pose également en matière de chiens ?

Maisbde toute façon ça n'est pas là que je posais la question. Ma question était plutôt à lire ainsi. Est-ce que la liberté individuelle de posséder un animal pourrait être prolongée aussi loin que de posséder un animal aussi dangereux qu'un ours sur un espace public partagé par des enfants et conçu pour les humains.

Parce que la question du pit bull ne se pose pas seulement au niveau du propriétaire animal.

On pourrait considérer l'animal dangereux en tant que tel par essence. Son instinct son caractère imprévisible lié au fait animal le rend par essence plus dangereux.

Mon point de vu est qu'il n'y a pas pas de bonne réponse logiquement indiscutable dans ce débat. C'est d'avantage un débat personnel de savoir où mettre le curseur du risque acceptable sur l'espace public.

Et cette question de curseur n'a pas de bonne réponse. La réponse est très personnelle.

Le Grand leader (Le Grand Leader) a écrit:

Question intéressante que tu poses Megalomarc.

Mais en ce sui me concerne la liberté des animaux est une notion jusqu'à mreuve du contraire maladroite. La notion de liberté me semble indissociable de la notion de libre arbitre. Hors les animaux n'ont pas de libre arbitre et ne sont mue que par leur instinct.

L'ours n'a pas de liberté en tant que tel. Par contre tu peux revendiquer l'épanouissement animal, le respect de la vie animal poir s'opposer à sa possession en milieu urbain mais dans ce cas la question se pose également en matière de chiens ?

Mais de toute façon ça n'est pas là que je posais la question. Ma question était plutôt à lire ainsi. Est-ce que la liberté individuelle de posséder un animal pourrait être prolongée aussi loin que de posséder un animal aussi dangereux qu'un ours sur un espace public partagé par des enfants et conçu pour les humains.

Pourquoi alors dit t-on d'un animal qu'il est en liberté ou en captivité ? L'animal sauvage ne souhaite pas vivre en captivité. Il souhaite vivre en liberté dans la nature. Ils ont une forme de libre arbitre. Tu penses qu'ils sont dépourvus de ça pourquoi, parce qu'ils ne sont pas capables d'exprimer leurs problèmes avec leur voix ? Ils ont des sentiments, des émotions, des réflexions de leur vie d'animal.

Je ne pense pas que le libre arbitre des humains qui travaillent comme des cons pour des bouts de papiers et payer des intérêts à la banque et des taxes au gouvernement soient beaucoup plus intelligents qu'un animal qui travaille pour se taper un lièvre et qui après se repose. Dans ce sens là, l'animal, ou l'homme sauvage, a une plus grande liberté et utilise son libre arbitre à meilleur escient à mon avis.

Le mot liberté recouvre différents sens, la liberté ça n'est pas la même chose que la liberté de mouvement ou que le liberté de choix etc...

La question de volonté et de liberté pour l'animal est assez complexe. Je ne pense pas en effet qu'aucun animal n'ait suffisemment d'intelligence de recul sur lui même pour être capable de faire des choix au sens humain du terme c'est à dire en pesant des arguments.

L'animal est sensible plus ou moins intelligent peu souffrir physiquement probablement souffrir de la captivité mais dire qu'il a ded droits c'est lui reconnaître la capacité de faire des choix allant à l'encontre de son instinct directe. Je doute qu'il en soit capable.