Que faire.

Ca fait comme 2 semaines que je suis de nuit sur la neige, et ma tolérance a la Methamphétamine fait en sorte que je dois prendre 2 dollars de camme, pour chaque dollars gagné par mon travail.

Je perds de l'argent en travaillant.

Merci de me dénicher quelque chose de plus fort.

J'attends.

En fait tu ne perds pas d'argent car tu perdrais beaucoup plus d'argent encore que le salaire que tu perds si tu ne travaillais pas donc tu attends que ça passe.

Sinon Cocaïne mais je te déconseille toutes ces merdes chimiques qui rendent aussi accroc que débile.

Prends soin de ta santé d'abord.

N'accepte pas de travailler de nuit ?

Je crains qu'il n'ait pas de patron auprès de qui faire une grêve ou un sit in, il est son propre employeur.

Ça sert à quoi de se démener à travailler si tu te scrappes la santé. Dans 15-20 ans tu vas être fini et tu vas peut-être regretter tes semaines de 70 heures.

J'ai rencontré un gars un moment donné en faisant un voyage de vélo. C'était à Sherbrooke. Il avait autour de 60-65 ans. Sur le gros diabète, avec du mal à marcher. Il m'a raconté sa vie. Jeune marié, il est allé travaillé des 70-80 heures par semaines en Abitibi, s'éloignant de sa famille pour travailler plusieurs mois par année. Il a gagné des gros salaires. Mais son surmenage l'a mené à des problèmes mentaux. Une fois il est rentré chez lui et il a appris que sa femme l'avait trompé, il a fait des menaces de mort aux deux (sa femme et l'amant). Il est allé en prison. Évidement il s'est séparé. La madame a ramassé une pension. Aujourd'hui (en 2013) le monsieur attendait la mort, et il m'a dit: fais pas la même erreur que moi, ne travailles pas trop.

Benoit, je réclame l'intervention de ton bonhomme pour en rajouter une bonne couche.

Le Grand leader (Le Grand Leader) a écrit:

Je crains qu'il n'ait pas de patron auprès de qui faire une grêve ou un sit in, il est son propre employeur.

Sur un truck? Jamais de la vie.

Je ne suis qu'un pauvre salarié en truck. Le truck c'est mon side line. Je ne mettrais jamais une cenne la dessus.

megalomarc a écrit:

J'ai rencontré un gars un moment donné en faisant un voyage de vélo. C'était à Sherbrooke. Il avait autour de 60-65 ans. Sur le gros diabète, avec du mal à marcher. Il m'a raconté sa vie. Jeune marié, il est allé travaillé des 70-80 heures par semaines en Abitibi, s'éloignant de sa famille pour travailler plusieurs mois par année. Il a gagné des gros salaires. Mais son surmenage l'a mené à des problèmes mentaux. Une fois il est rentré chez lui et il a appris que sa femme l'avait trompé, il a fait des menaces de mort aux deux (sa femme et l'amant). Il est allé en prison. Évidement il s'est séparé. La madame a ramassé une pension. Aujourd'hui (en 2013) le monsieur attendait la mort, et il m'a dit: fais pas la même erreur que moi, ne travailles pas trop.

Faut pas avaler ca.

Il manque tout le temps d'énormes bouts a ces histoires de gars qui travaillent en dehors.

Arbeit macht frei

Gilbert Du Motier a écrit:

Arbeit macht frei

haha

Les 5 plus grands regrets des personnes avant de mourir

2. « Je regrette d’avoir consacré trop de temps à mon travail »

http://soocurious.com/fr/les-5-plus-grands-regrets-des-personnes-avant-de-mourir/

Pas pire.

1. « Je regrette de ne pas avoir eu le courage de vivre ma vie comme je le voulais et pas celle que les autres voulaient pour moi »

Non. Pas de problème de ce coté la.

2. « Je regrette d’avoir consacré trop de temps à mon travail »

Travailler c'est de la marde. Se faire vivre c'est en manger. Alors mon choix est assez simple. J'aime l'indépendance, de tout, y compris des institutions financières. Trop travailler m'est plus facile a vivre que de ''pas assez'' travailler.

3. « Je regrette de ne pas avoir plus exprimé mes sentiments »

L'expression, ce n'est pas juste les mots. Alors aucun regret la dessus.

4. « Je regrette de ne pas être resté en contact avec mes amis »

Pentoute.

5. « Je regrette de ne pas m’être autorisé à connaître le bonheur »

Je me le suis autorisé. Et on se le dit souvent.

Gilbert Du Motier a écrit:

2. « Je regrette d’avoir consacré trop de temps à mon travail »

Travailler c'est de la marde. Se faire vivre c'est en manger. Alors mon choix est assez simple. J'aime l'indépendance, de tout, y compris des institutions financières. Trop travailler m'est plus facile a vivre que de ''pas assez'' travailler.

Le dilemme n'est pas entre travailler et ne pas travailler, mais entre trop travailler, et ne pas "trop" travailler.

Pour quelques années ça peut être bon de travailler plus fort, comme tu dis pour ne pas trop en devoir aux banques. Mais à mon avis c'est pas sain à long terme.

chose a écrit:

La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et doivent mourir en ayant conscience que cela est dû aux choix qu’ils ont faits, où qu’ils n’ont pas faits.

Quel rêve au juste? A quoi ils rêvent tant ces gens la?

Des niaiseries de faire le tour du monde, genre?

Moi je suis pas mal comblé. J'vois pas trop ce que je pourrais regretter comme rêve non accompli?

Vous?

megalomarc a écrit:

Gilbert Du Motier a écrit:

2. « Je regrette d’avoir consacré trop de temps à mon travail »

Travailler c'est de la marde. Se faire vivre c'est en manger. Alors mon choix est assez simple. J'aime l'indépendance, de tout, y compris des institutions financières. Trop travailler m'est plus facile a vivre que de ''pas assez'' travailler.

Le dilemme n'est pas entre travailler et ne pas travailler, mais entre trop travailler, et ne pas "trop" travailler.

Pour quelques années ça peut être bon de travailler plus fort, comme tu dis pour ne pas trop en devoir aux banques. Mais à mon avis c'est pas sain à long terme.

Ca doit dépendre de ce que l'on fait et des contraintes que ca apporte.

Et ''trop'' travailler'' c'est dur a évaluer avant d'être rendu au bout. Plus je travaille présentement, plus j'aurai l'option de moins travailler demain, et ci et ca. Est-ce que demain sera aussi long que je pense?

..tu me suis?

Et si demain ne vient pas, j'aurai trop travaillé....

J'aimerais vraiment voir ce que sont les rêves de ces gens la.

D'après moi ce sont des choses insignifiantes pour lesquels ils accordaient et accordent encore trop d'importance.

C'est comme pour les enfants, ''allez a Walt Disney''. Mais c'est du vent !! C'est nous qui leur rentrons ca dans la tête.

Gilbert Du Motier a écrit:

chose a écrit:

La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et doivent mourir en ayant conscience que cela est dû aux choix qu’ils ont faits, où qu’ils n’ont pas faits.

Quel rêve au juste? A quoi ils rêvent tant ces gens la?

Des niaiseries de faire le tour du monde, genre?

Moi je suis pas mal comblé. J'vois pas trop ce que je pourrais regretter comme rêve non accompli?

Vous?

Élevé par des parents peu éduqués (avec des bonnes valeurs), et étant très curieux, j'ai rêvé d'aller à l'école longtemps pour me former et éviter le travail dur. Quoique l'école ait ses limites dans la formation d'une personne, en anglais ils disent, "don't let school get in the way of your education". Mais dans l'ensemble je crois que ça a réussi.

J'ai été très gêné très longtemps, j'ai rêvé de venir à bout de ce handicap. Principalement, c'est réussi.

J'ai rêvé de trouver ce qui rend heureux. Je suis pas sûr d'avoir réussi, mais je crois savoir comment y arriver.

Je rêve d'aller en Chine pour compléter ce que j'ai commencé avec le mandarin. C'est encore un work in progress. Je me trouverai un emploi en lien avec ça.

Question famille, c'est quelque chose que je ne sais pas encore. Pour l'instant je suis content avec ma liberté.

Je ne rêve pas de travailler, mais il faudra bien que ça se fasse !

Faut dire que, ne pas avoir trouvé l'âme soeur , je serais solidement perdu/mort dans la vie.

Tout vient avec. On s'enligne sur 27 ans je crois. C'est quelque chose de magique dans ma vie. C'est juste incroyable.

Desfois je saute une coche et je me dis que je suis dans le coma depuis 20 ans et que je me suis inventé une vie et un personnage.

megalomarc a écrit:

Je ne rêve pas de travailler, mais il faudra bien que ça se fasse !

Le travail, dans l'ombre, c'est plein de cotés gratifiants. On les oublie souvent.

Faire sa part, dignement, vivre sans nuire, sans exploiter, sans voler, sans violenter...Moi ca m'amène pas mal de bonnes choses psychologiquement.

Fourrer et écraser le monde, j'aurais été bien habile, et j'aurais eu un sale regret a mon dernier souffle, celui d'avoir vécu de même, et d'avoir construit un château de marde sur le dos des autres, toute au long de ma vie.

C'est correct de travailler. C'est bon de travailler trop pendant qu'on peut, et d'essayer de jauger le bon moment pour travailler moins, grâce a notre travail de trop du passé. Ca fait juste chier de se faire avoir par la vie a 47 ans.

megalomarc a écrit:

J'ai été très gêné très longtemps, j'ai rêvé de venir à bout de ce handicap.

C'est quelque chose qui m'est inconnu. J'aurais tendance a demander ''gêné de quoi?'' et ca me donne l'impression que cette question démontre toute mon ignorance sur ce problème.

Mon estime de moi a toujours été au plafond. Je trouve que je n'ai a être gêné de rien, et/ou, je m'en sacre.

Je sais que un est plus beau, que un est plus fort, mais l'intégrale de ma personne me semble un ensemble, un mix parfait qui fait que je n'ai pas de problème d'estime sur un a un des points (le problème est souvent la, juger point par point, au lieu de l'intégrale). C'est équilibré et je peux puisé partout ailleurs chez ma personne pour combler telle ou telle ''manque'' sur un point par rapport a l'autre personne en face de moi.

Me suis trouvé un maudit bon truc pour pu être obligé de voyager ma bonnefemme en ville...Chaque fois qu'a me le demande jme Ramasse une grande gorgée de St Léger...fak ma machine a souffler marche pas dans le char!!! Avoir su, j'aurais sauté mes licences ben avant

Que faire? Rien! l'hiver achève,,,

Gilbert fonctionne bien et ça va continuer tant que la carcasse tiendra le coup. Le problème avec les travailleurs autonomes c'est qu'ils doivent amasser le million avant 60 ans pour s'assurer une minimum de sécurité financière, contrairement aux fonctionnaires qui vont vivre aux mamelles de l'État jusqu'à leur mort.

Ya un gars qui m'a envoyé un msg en privé en me disant que j'avais l'air d'être juste un maudit violent de robineux...robineux je veut ben croire mais violent WO!!! C'est juste parce que je compte les histoires ou ya eu de l'action...Alors pour ce petit messieu voici une histoire sans violence: J'tais entre 2 jobs dans le port de chicago pis j'ta stallé la pour 2-3 jours fak j'ai décidé d'aller faire un tour dans un bar de topless bin connu de la ville des vents, entk moé j'le connaissais ben! Fasait deja kek heures que j'tais accoudé en alternance entre le bar et une grand blonde qui sentait rienk les marlboro pis je devais avoir au moins une paye, une paye et demie de bu....Y te rentre un grand crisse d'indien mon ami, rien a voir avec l'indien sué sacs de chips. Une bâtisse la, ste gars la était tellement gros que d'après moi quand y se fait couper les cheveux ou ben faire des plombages ca y prends un permis de construction de la ville....Fak c ca, y rentre, je ramasse ma grosse bière par le goulot pis j'y dit: Anytime gros fucking indian!!!! Y me ramasse une de sté claques dans el dos mon ami que j'ai repris mon souffle juste 2 bières plus tard! --Come on Andrey, next one is on me! Sta mon chum le gros Clarence Bishop qui travaillait sul bato avec moi! Fak c'est ca y s'est assis a coté de moi pis on a continué a prendre un coup....maudite histoire plate hein? Ben c ca, la prochaine que j'va vous raconter y va y avoir du bordassage dedans!

Il ressemblait à ça ?



Fallait appeler la police c'est un évadé d'hôpital psychiatrique.