voila 7ans deja...

il ya 7ans aujourd'hui, j'ai fait mon premier voyage au quebec de 1semaine...



1.Samedi 15 fevrier 2003



Nous avons décollés de Roissy Charles De Gaulle aérogare 2F porte 17 à 13h15, il y eut 8h30 d'avion. Nous sommes arrivés à l'aéroport de Montréal ­Dorval à 15h (heure locale) et quand nous avions passés l'interrogatoire douane, en attendant les autres qui y étaient encore, j'ai vu une affiche où l'on pouvait voir des gens et des enfants disparus. Il y en avait de N.Y., Washington, Toronto. Je trouve que cela faisait loin par rapport à Montréal. Enfin, nous avons repris nos bagages mais en partant, j’ai été repris à la douane car j’avais perdu le papier de déclaration d'arrivée au Canada fourni par les hôtesses dans l'avion, j'ai cherché dans mes poches, dans mon blouson et voyant mon groupe partir sans moi, j'ai vraiment commencé à m'inquiéter. Alors voyant que je bloquais la file, il m'ont fait passer dans un couloir où il y avait une file d'attente pour passer devant des guichets où ils nous faisaient vider nos sacs pour les fouiller. Alors j'ai demandé au couple de personnes âgées si je pouvais passer devant eux car mon groupe devait s'inquiéter pour moi mais ils ont été vraiment exécrables alors déjà que j'étais stressé, cela m'a énerver. Quand je suis arrivé aux guichets, j'ai expliqué calmement mon problème pour en finir au plus vite, alors il m'a posé des questions d'usages genre: "est-ce que je porte de la drogue" ou autre, je ne me souvient pas bien, j'étais très stressé. Il m'a souhaité la bienvenue au Canada sans me fouiller mon sac, sympa non?! J'ai cherché la sortie de l'aéroport où j'ai retrouvé mon groupe dans le hall puis je me suis mis à pleurer. Je crois que dans ces 10 minutes, j'ai eus la trouille de ma vie.

Puis nous avons été au collège français ( N.B. que j'ai retrouvé. c'était le collège français situé au 5155 avenue De Gaspé métro Laurier dans le quartier latin. ) déposer les bagages, on été au niveau 3 (2ème étage car au Québec le rez-de-­chaussée s'appelle le 1er niveau).

vue "google street" du fameux college (on a dormi dans l'aile gauche)


Ensuite on a été à une pizzeria car Simon (le guide québécois ), voulait nous faire coucher tard. Quand on marchait dans la rue, à chaque respiration, ma moustache (et les poils du nez!) gelait, c'est pour ça que j’ai dû la raser. A la pizzeria, on y a mangés des pointes (part de pizza en québécois), à un moment, Yaniss a voulut parier avec moi qu'il arriverait à manger tout un gobelet de pois cassés, pendant une demi heure il me disait: «je te paris 5$CA que j'y arrive » ou «je te paris 10$CA que j'y arrive ». A un moment il m'a tellement saoulé que je lui ai dis « écoute, moi je te paris que tu ne le feras pas même gratuitement. ». Il a pris le paris et on en a ris pendant un bon moment car il était vraiment rouge et a bien dû vider 3,4 pichet d'affilé. Ensuite, on a continués la route avec la moitié du coca qu'il nous resté mais 1\4 heure après, le liquide était totalement glacé (comme une nuit passée au freezer). On a donc continués la soirée dans un parc ( N.B. que j'ai retrouvé, c'était le parc de la fontaine situé dans le quartier latin.) où il y avait un étang transformé en patinoire gratuite par le froid où on s'est bien amusé en plus, il y avait de la musique et un grand feu, ensuite Simon nous a montré une cascade devenue glissade de glace assez drôle où on a fini la soirée. Pour rentrer, Simon a eut la bonne idée de nous faire faire de longs longs détours pour nous épuiser un maximum afin de digérer le décalage horaire.

Simon nous a emmené dans un restaurant typique du Québec où nous y avons pris le petit - déjeuné. L'assiette c'était: oeufs brouillés, petites frites carrées, une parts de melon, une tomate - cerise, une part d'orange et quelque chose dont je ne me souvient plus du nom.

Nous avons ensuite dû marcher jusqu'au centre-ville mais à la place de marcher, Simon a préféré prendre le métro. Dans les stations, c'est marrant car au moment de composter les billets, on ne les conserve pas et sur les machines, il y a marqués « passez votre came ». Sur les affiches, j'ai vu qu'il y avait l'Auberge Espagnole au cinéma alors qu'il était déjà en DVD en France, c'est peut-être parce que les films français mettent 6 mois pour traverser l'atlantique comme les films américains qui mettent 6 mois pour arriver en France. Le métro lui, est bleu et dedans, il y a des pubs vidéo.

En descendant, nous avons pris la rue Sainte-Catherine (célèbre artère commerciale de Montréal longue de quelque 15km et bissectant le centre-ville d'est en ouest.) où nous avons vu la façade des Foufounes - Électriques que Simon avait surtout voulu souligner par rapport aux autres endroits).



Ensuite,on a continués et comme il faisait trop froid, nous nous sommes arrêtés à une place où il y eut le « festival Montréal son et lumière» la veille (que Simon voulait nous emmener voir avant que l'idée ne soit rejetée par Davy. A la place, on a fait des détours) car il y avait un abri où il y avait des lampes rouges comme ultraviolet, pour faire de la chaleur. Nous sommes restés là un bon moment, quand tout à coup, j'entendit une musique derrière des stands alors je me suis rapproché et qu'est-ce que j'y ai entendus?: du Lorie, c'était la musique «moi j'ai besoin d'amour, des bisous, des câlins j'en veux tout les jours moi j'aime çàa ». Ça m'a fait bizarre sur le coup mais c'est vrai qu'elle a du succès au Québec.

Nous sommes donc arrivés à EATON, un centre commercial qui fait partie de « la ville souterraine» comme l'appelle les montréalais où nous y avons fait du shopping. Ce réseaux piétonnier s'étend sur plus de 30km de long et est visité par plus de 500 000 personnes par jour. Il permet de protéger du froid les gens pendant l'hiver en leur proposant plus de 2000 magasins, cinémas, théâtre, hôtel, sans avoir a sortir dehors. D'ailleurs à part EATON, il y a plus de 60 complexes commerciaux. Là-bas tout y convergent: les stations de métro du centre-ville, les lignes de bus, de trains de banlieue. Quand je suis rentré dedans cela m'a parut immense c'est plus grand que ce que j'aurais pus imaginer.




A un moment, j'ai été dans un magasin de sport spécialisé dans le hockey sur glace et le base-ball. Yaniss y a acheté une bâte de base-ball avec la balle pour 23$CA. ( mais quand on était a la base, il a eut la bonne idée d'y jouer avec un pote sur la neige résultat: du blanc sur du blanc, on n'a jamais retrouvés sa balle) J'y ai acheté les souvenir à souvenir mag, (d'ailleurs au Canada le shopping est un peu énervants car sur chaque produit il faut ajouter la « T.P.S. »(15% de taxes) du prix de l'étiquette pour avoir le vrai prix), puis j'ai acheté les lettres et les timbres forcément. Dans cette boutique, ils vendaient en plus, des cartes prépayées pour appeler la France. On dira ce qu'on voudra mais 5$CA pour 300 heures de communication, ce n'est pas mal.




A midi, on nous a donné de l'argent pour se débrouiller et manger. Nous avons donc fait la connaissance d'un grec très gentil et content de voir des européen il nous a dis qu'il avait de la famille en Europe et qu'il serait un rêve pour lui de partir en Europe. Moi sur le coup ça m'a fais bizarre car moi c'est pile le contraire. Nous y avons pris des sandwichs. Ensuite, on devait marcher jusqu'au car mais on était à la bourre alors on a pris le métro. On a fait, avec le car, un City tours: on a découvert la cathédrale où Céline Dion a baptise René-Charles, l'hôtel de ville de Montréal avec sa belle place Jacques cartier, le stade olympique avec sa tour inclinée la plus haute du monde, le site de l'exposition universel, l'université de Montréal qui se classe au 2ème rang des université Canadiennes pour les subventions et les contrats de recherche. Elle accueille 50000 étudiants et décerne plus de 2500 diplômes de maîtrises et de doctorat chaque année. Au loin, il y avait un pont de Gustave Eiffel puis on a vu un parc sur I’île Sainte-Hélène où il y avait le parc d'attraction La Ronde où il y a plus de 30 manèges dont une montagne russe gigantesque enfin derrière l’île il y avait l’île notre-dame où il y a le circuit formule 1 Gilles - Villeneuve où se déroule le grand prix air Canada au mois de juin. Ensuite on est descendu puis on a visités le belvédère du mont royale: la vue était magnifique, il y avait une vue du centre des affaires magnifique.




En plus, sur le Mont Royale, pour ne pas que les plus riches s'installe dessus et aient le sentiment de dominer la ville, le maire de Montréal a décidé d'interdire l'habitation sur le Mont Royale et a fais mettre un parc sur le mont. Seulement, en en redescendant, j'ai bien dû tomber un bon millier de fois. On a repris le car jusqu'au collège, pris nos bagages, puis on est partis à la base MAKWA située au camp mariste sur les bord du lac Morgan à 15km de Rawdon dans les laurentides, Le soir, Brigitte est venu nous expliquer les règles de sécurité (en nous disant bien qu'il fallait pas faire le téméraire car si on allait au urgences on y passait la nuit) et nous souhaiter la bienvenue.




Après manger, on a fais de la bouée sur glace, c'est à dire une pente bien lisse où on fait tomber une bouée avec nous à l'intérieur mais moi je n'arrivais pas monter la pente car de la glace, je ne tiens pas dessus alors 50 mètres de pentes de glace, merci! Comme je n'y arrivais pas, un garçon de mon groupe ma montrer un toboggan dans la neige, jusqu'à ce que Simon nous dispute car le toboggan aurait pu craquer dans ce froid et sous notre poids. Alors ça m'a fait peur et j'ai stoppé net.
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Cool! Ce souvenir, Juju. Merci d'avoir partagé ceci. Je crois que c'est le plus long post de ton histoire forumesque!

chaque jour, un nouvel episode du sejour...

demain la suite!

oh putain change le style alors, parce que les souvenirs de voyage d'un gamin du primaire si ce n'est pas écrit par Sempé et Goscinny dans le Petit Nicolas ben ça vaut rien.

J'arrive pas à lire plus de deux lignes, le temps employé n'est pas bon.

Nous avons déjeuné avec du beurre de cacahuète (une grande première pour moi), ensuite, on a fait du ballon-balai (sorte de hockey sur glace mais avec un ballon à la place du palet), mais moi comme je n'arrivais pas à tenir debout sur la glace, j'étais gardien. L'après midi, nous avons été voir Matthieu; un trappeur qui nous a appris la faune et la flore du Canada. D'ailleurs, il n'aime pas trop les Américain car quand il parle du raton-laveur, il dit que c'est un voleur comme un américain puis, quand il parle du coyote il dit que c'est un psychopathe fou à lier et que c'est Saddam Hussein et George W. Bush réunis et que c'est comme ça car les américains ont infiltrés la terre et que cela ressort sur la faune. Ensuite, il nous a montré un peu son terrain de chasse.




On a enchaînés avec les bouées où nous avons fait la connaissances de l'autre groupe: le groupe d'Annie : les Gîte, c'était très rigolo d'ailleurs il y avait dans leur groupe une fille qu'ils appelaient « la blonde» car elle tombait souvent, elle s'appelait Loren.



Le soir, on a été voir un meucheur qui nous a expliquer comment fonctionne un traîneau, puis ensuite il y a eut un jeu assez sympa où on nous disait une phrase québécoise, puis plusieurs proposition pour savoir quelle signification de la phrase était exact comme « cette musique est quétaine. » ça veut dire; cette musique est nul, niaiseuse. On a fini moi et Davy, quand c'était fini, par aller rejoindre le reste du groupe chez les Gîte.

1) c'est quétaine en ostie comme voyage
2) C'est plate
3) C'est écrit par un gamin de 9 ans.

cantabile a écrit:

1) c'est quétaine en ostie comme voyage
2) C'est plate
3) C'est écrit par un gamin de 9 ans.

4) J'ai jamais vu de pois cassés dans une pizzeria qu Québec (a quoi ça pourrait servir ?). Tu dois confondre avec des piments forts en flocons pauvre idiot !

a savoir que j'avais 16ans....
donc pas 9

et tout ce que je raconte sur les noms et autres c'est ce que le guide nous a dis...si j'ai dis que c'etait des pois cassés, soit c'est parce que c'en etait, soit c'est parce que l'on m'a dis que c'en etait...

Donc à 16 ans tu écrivais comme à 9 ans.
Ton guide vous a niaisé. Des pois cassés ça n'existe pas dans une pizzéria et surtout, si ça existait, ça ne serait pas piquant !

moi je me souvient de pois cassés....

je sais meme pas ce que c'est des pois cassés vu que...la definition que j'en ai...c'est especes de copeau ronds (comme des confettis un peu) dans des gobelet plastique sur les tables de la pizzerrias...

et ca piquais...

ceci dit, peut etre qu'en france on appelle ca comme ca, mais qu'au quebec ca s'appelle autrement...

Ça confirme ce que je disais...ce que tu décris ce sont des piments forts en flocons..Votre guide vous a bien eu !

Des pois cassés ce sont des pois secs...cassés ! Pourquoi tu mettrais des pois secs sur de la pizza ?

ok...peut etre que c'etait une ruse pour qu'on se doute pas pis qu'on le bouffe en gorgées

avec le recul ca peut etre drole...

ok merci je vais modifié ca...

tu peut me donner le nom exacte de ces piment? est ce que cette recette (en flocons) a un nom?

cantabile a écrit:

Des pois cassés ce sont des pois secs...cassés ! Pourquoi tu mettrais des pois secs sur de la pizza ?

tout simplement parce qu'on est a 5600km de chez soi dans un voyage censé nous depaysé et que je me suis dis que c'etait la coutume local...

Juste une chose..Tu as bien compris que les pois secs n'étaient pas pois secs mais des piments en flocons (qui sont en fait les graines que l'on retrouve à l'intérieur des piments forts sous forme séchée) ?
Le guide voulait déconner avec vous et maintent tu es sans doute pour lui une autre anecdote concernant les touristes français !

Si tu reviens au Québec va dans une pizzéria et demande des pois secs et tu verras bien !

Meilleur débat jamais lu sur ce forum.

hahaha ! Écoute on fait ce qu'on peut avec ce que l'on a ! Au moins je suis resté presque poli tout le long.

presque...

On a fait de la motoneige mais Simon allait trop vite donc un moment, je suis tombé mais je me suis rattrapé au porte bagages et à chaque bosse, ma colonne vertébrale cognait contre le phare arrière mais Davy, ça allait sauf que lui, il s'éclatait trop au point que sa spécialité s'était l'embourbe dans la neige. Il a fallut à chaque fois la soulever et la remettre sur la route où la neige était plus tassée. Ensuite, je suis reparti avec Simon, il avait changé de route et maintenant il passait par le lac Morgan mais il allait tellement vite qu'en sautant l'embarcadère qui était d'ailleurs, noyé sous 30 cm de neige, mon bonnet a volé. Mais il me la ramené au tour d'après. Ensuite, j'ai refait un tour mais à un moment, on a regardés derrière mais comme on ne voyait plus Davy qui d'habitude était au plus à 30 mètres derrière on s'est arrêtés, puis quand 10 bonnes minutes après Davy est arrivé, on a appris qu'il s'était encore embourbé dans la neige et on s'est bien moqués de lui.

L'après midi, rebelote, mais avec l'autre groupe, ensuite, on a fait de la pêche sous la glace sur l'Aquacade devant le chalet mais je suis rentré bredouille. Le soir, j'ai lu mon journal gratuit « Montréal métropolitain» et j'ai lu qu'il y avait un préavis de grèves sur Air France alors j'ai été le dire à Davy et Simon mais ils m'ont dit que de toutes façon, la grève serait du 17 au 20 mais que nous, on rentrait le 21 et qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter. Dommage ! Puis, il y a eut la boum, mais je ne l'ai pas aimé.

J'imagine aue pour toit ça te rappelle de bons souvenirs mais franchement c'est pratiquement impossible à lire tellement le style est mauvais et inadapté à la rédaction d'un récit.

ben vas y! critique, toi qu'est meme pas capable de te rappeller de ce que tu as fait la veille!

Le Jam c'est du niveau Ouioui à la neige tu devrais pouvoir le lire. ça me rappelle les rédactions du primaire : Racontez vos vacances.

Tu pourrais pas réécrire tes souvenirs plutôt que copiez coller tes gribouillis de gamin.

ben....tres honnetement je pourrrais..j'ai d'ailleurs commencé en 2008, pour les 5ans...

mais ca avait completement denaturé le coté "tout chaud" du recit

alors j'ai tout abandonné

mais c'est vrai que je suis dans un dilemne....

Et quand est-ce que tu parts au Québéc aller poluer un peu la vie des Canadien Français ? Tu étais censé y eller pour Janvier, puis pour février, on va arriver fin février et tu n'y seras toujours pas.

Ce serait pas mal de te faire de nouveaux souvenirs.

je suis d'accord, mais ca depend de mon pere et de ma mere tout ca...


question possible
mais espece de con! tu peut pas te trouver un taf et te le payer toi meme? t'es obligé de compter sur papa maman??

reponse :
PAS FAUX mais si je me trouve un taf, je reunis la somme...mais comment je fais pour partir? je demande des vacances? des arrivé, je demande deja des vacances?

Tu peux conditionner l'entrer au nouveau job en disant que tu ne seras disponible que dans trois semaines, un mois etc...

Mais en gros, ce que tu nous dis, c'est que le fait de vouloir partir au Québec te bloque dans ta recherche de job car du coup ta motivation est freinée par ton désir d'aller au Québec maintenant.

en même temps tu bosses 1 ou 2 mois et ensuite ben comme d'hab....tu perds ton taf