c'estr quoi cette putain d'impermanance..

on en parke partout mais j'ai toujours pas compris ce que ca voulait dire vraiment...

ya til quelqu'un pour m'expliquer serieusement ce que cest que ce fameux mot???

C'est la théorie foireuse de Gaucho, il l'avait expliqué sur le formu des CF il y a quelques années. ça théorie est une lapalissade qui tient comme idée principale que tout est éphémère, rien ne dur vraiment, tout fini par changer etc... La permanence le paramètre constant dans ta vie n'existe pas.

L'Impermanence est une entité de la sphère divine de réalité. Il s'agit d'un état inévitable de toute entités d'ordre matériel ou d'ordre voisin. Cet état d'une entité spécifique est l'impermanence ("i" minuscule). Il s'agit de mot valise latin
*''in-'' Contraire de
*''per'' continuellement (comme dans perène(littéralement) , perseverer, perpétuel)
*''mănĕo'' rester, demeurer, attendre
*''-ence'' état de ce qui est. Terminaison courante transformant un verbe en adjectif (préférer => préférence)

L'impermanence est donc l'état de ce qui ne reste PAS continuellement tel quel.

L'Impermanence est la somme de tout ces états d'impermence.

Et la THÉORIE de l'Impermanence est que : Toute chose matériel est voué à se transformer au point où ce qui le définissait ne soit plus. Bref, que toute chose en ce bas monde est impermanent.

Quelque maxime en lien :
*Rien ne se perd, rien ne se crée, et pourtant tout se transforme.
*Tant va la cruche à l'eau, qu'à la fin elle se brise.
*Toute bonne chose à une fin.
*Tu est poussière et tu retourneras à la poussière.

Iluvalar_the_grey a écrit:

Tu est poussière et tu retourneras à la poussière.

Donc si je comprends bien, je suis poussière et je resterais à l'état de poussière, l'état de poussière est donc un état permanent.

Impermanence 101 pour juju.

Dans le bouddhisme, l'existence a trois caractéristiques inter-reliées: l'impermanence, la "vacuité" et la souffrance.

La première est l'impermanence. C'est le changement perpétuel, à chaque instant, de toutes les existences. On retrouve la même idée chez les penseurs grecs, "tout coule" (comme une rivière). On voudrait bien que les êtres qu'on aime ou tout ce qu'on aime demeure, mais tout cela est malheureusement appelé à changer un jour ou l'autre et on est rarement prêt à l'accepter. On considère souvent les bouddhistes comme pessimistes, justement à cause de cette vision du monde...

La seconde caractéristique est la "vacuité". Mot bizarre qui veut simplement dire qu'on n'a pas d'existence propre. Rien ne peut exister par soi-même et, malgré les apparences, "je" n'existe pas vraiment.

Enfin la troisième caractéristique est la souffrance universelle découlant de l'impermanence et du "non soi". La racine de la souffrance est dans la croyance erronée en la permanence des choses et en l'existence d'un soi individuel. On retrouve aussi cette idée dans la Bible: "Vanité des vanités, tout est vanité."

Il n'y a rien de sorcier là-dedans et cela fait parti de la Compréhension juste, où le petit "moi" s'évapore dans un grand "Moi".

Tout cela se retrouve dans d'autres traditions religieuses, mais exprimé différemment.

En outre, ces notions, sauf dans le cas de la "vacuité", sont assez faciles à comprendre, mais il faut probablement une vie entière pour vraiment les assimiler.

Gaucho a écrit:

Rien ne peut exister par soi-même et, malgré les apparences, "je" n'existe pas vraiment.

En contradiction totale avec la visionde Descartes "Je pense donc je suis".

Et quand tu dors ou pas en mesure de "penser"? Tu n'es pas...

Gaucho a écrit:

Et quand tu dors ou pas en mesure de "penser"? Tu n'es pas...

Quand je dors je pense (le rêve est assimilable à de la pensée). Dans les phases où "je ne pense pas" someil profond ou autre, ou on peut tout à fait imaginer que si je n'existe pas moi puisque je pense en génral, en revanche ce sommeil paradoxal n'existe pas.

Ta réponse montre que tu n'a spas bien compris le sens de cette maxime.

"Descartes dit que le seul moyen de savoir si nous existons est de penser, d'où sa phrase : "Je pense donc je suis".

Ainsi la seule preuve que vous soyiez vivant est le fait que vous puissiez penser : Ainsi, toi, lecteur, serais peut-être la seule personne existante, car tu sais que tu penses mais les autres pensent-ils ? Et tout ce qui t'entoure, chaque être que tu penses vivant autour de toi, chaque événement, ne serait peut-être que le fait de ton imagination.

Mais tu vas me dire : quand on me touche, je ressens quelque chose, c'est donc réel !
Or, tout le monde sait que les sensations ne sont que des choses provenant de ton cerveau, alors qui te dit que tu n'inventes pas tout ? Que tu inventes cette douleur, ce plaisir ?"

T'es pas mal dans les patates avec Descartes.

Son "Je pense, donc je suis" n'avait pas pour objet l'ontologie (la science de l'être), mais l'épistémologie et plus précisément la méthodologie et il a ouvert la voie à l'empirisme, ou méthode qui repose sur l'expérience directe.

C'est toi qui est dans le champ, ça a l'air que tu n'y connais rien.

Personne n'y connait rien !

Le Jam a écrit:

Iluvalar_the_grey a écrit:

Tu est poussière et tu retourneras à la poussière.

Donc si je comprends bien, je suis poussière et je resterais à l'état de poussière, l'état de poussière est donc un état permanent.

Merde !

Eh non... tu ne m'auras pas aussi facilement . La Poussière est une entité d'ordre divine. C'est à dire que la Poussière est unique dans l'univers. Elle n'est donc pas sujette à l'impermence (N'étant pas d'ordre voisin à l'ordre matériel). Par contre chaque partie de la Poussière peut-être d'ordre matériel. C'est ainsi que chaque partie est sujet à l'impermence et peut même aller jusqu'à cesser d'être poussière (et le fera tôt ou tard selon la théorie). C'est ce qui arrive dans cette sentence : poussière => Humain => poussière.

Donc tout ce tient dans ma description, même si l'état de poussière en elle même est éternelle.

On peut avoir une bonne idée de ce qu'est l'impermanence, avec ce qu'a écrit le poète anglais John Keats sur sa pierre tombale:

Here lies one whose name was writ in water.

Ici repose celui dont le nom était écrit sur l'eau.

Le gars est mort pas mal jeune, de tuberculose je crois, et il a vécu une belle histoire d'amour -- qui n'a pu éclore -- et qui a fait l'objet d'un film que je me propose de voir.

Comment s'appelle le film que je fasse une petit recherche.

gaucho s'y connaissait en impermanence mais si ca theorie fonction il a arreté de s'y connaitre, donc il ne s'y connait plus...


l'impermanence existait

mais la pauvre a etait victime de sa theorie propre, l'imparmanence n'est plus...

si une theorie declare que rien dans l'univers ou dans la science ne dure.... alors cette theorie meme ne peut durer

n'est ce pas une sorte de theorie du serpent qui se bouffe la queue?

Belle figure que celle du serpent qui bouffe sa gueue qui revient finalement à la même figure que la roue du samsara, ou du cycle des renaissances.

L'impermanence n'est pas une théorie, mais un miroir qui change comme change les choses qu'il imprime si fugacement.

ce miroir qui change, va finir par arreter de changer

theorie de l'impermanance

C'est quand même surprenant de voir Juju s'intéresser à l'impermanence.

J'ai l'impression que quelque chose de majeur a changé chez lui depuis qu'il vit au Puy.

Dans tes rêves, c'est juste que t'utilise à tout bout de champs cette fumisterie pour te donner un vernis de vieux sage qui aurait tout compris à la vie, ses turpitudes et ses congénères. Sauf que t'en fais pas grand cas de l'impermanence dans tes relations avec Daïva...et au bout du compte t'es juste un loser comme nous tous qui passons du temps sur un forum.

RonanFarfromKNKY a écrit:

Dans tes rêves, c'est juste que t'utilise à tout bout de champs cette fumisterie pour te donner un vernis de vieux sage qui aurait tout compris à la vie, ses turpitudes et ses congénères. Sauf que t'en fais pas grand cas de l'impermanence dans tes relations avec Daïva...et au bout du compte t'es juste un loser comme nous tous qui passons du temps sur un forum.

+1 000

Je t'aime Ronan.

Le meueueusieur n'a surtout pas prisé ma critique passée de son tourisme pseudo-scientifique dans les îles du Pacifique et qui s'enfle aujourd'hui la tête dans un labo vaporeux avec des pseudo-recherches aussi connes qu'inutiles et qui s'offusque qu'on ne lui voue pas la déférence que ses diplômes-bidons devraient, selon lui, lui mériter.

Le même poussiéreux pédantisme académique que sa copine, la grosse Daiva; celui de sous-doués minables qui vont essayer de convaincre et se convaincre d'un brin d'intelligence et de culture en se traînant le cul un max sur les bancs d'école pour décrocher des diplômes complaisants poudre-aux-yeux. De drôles de bibites que ces morpions ès crétinisme...

mais oui c'est tout à fait ça ta critique m'avait totalement ébranlé dans mes convictions et mes certitudes depuis je suis sous antidépresseurs, j'essais toutes les drogues douces en ventes libres pour tenter de trouver le sommeil c'est vrai j'étais un touriste j'ai pris 3 semaines de vacances en deux ans sur place, bossais le week end pour faire tourner mes expériences...docteur ah docteur quel beau titre je me caresse tous les soirs avec mon diplôme...
ai-je fais un constant étalage des mes diplômes, de mes études, ma recherche ? je ne crois pas

ma copine Daïva c'est vrai j'adore son absence d'humour, de second degré, sa prétention, son orgueil, sa lourdeur littéraire ...

t'es un peu aigri gaucho ce serait dommage que ce soit permanent, t'as perdu en bourse ces derniers temps ?...

Gaucho en fait, le pauvre à l'impression de mériter mieux que sa minable et médiocre petite vie. Il se serait vu auteur de romans à succès, scientifique, philosophe, mais c'est juste un bouseux de Québecois vivant dans la certe très belle ville de Québec mais c'est NYC, Paris, Barcelon, Berlin ou Londres qui étaient faites pour lui.

jujusilb a écrit:

si une theorie declare que rien dans l'univers ou dans la science ne dure.... alors cette theorie meme ne peut durer

Le « samma- sati » (attention juste) t'aurais permis de lire ce que j'en dit avec l'attention mérité et comprendre où ton raisonnement est mauvais.

J'ai l'entrainement tout désigné pour toi :
https://cowboysfringants.easyforumpro.com/sujet-divers-f1/meditation-zen-t1123.htm

D'abord, mes décentes opérations boursières ont été fructueuses et j'ai pu remettre mon portefeuille sur les rails -- ce dernier étant justement entre les mains d'un type dont le mur était tapissé de beaux diplômes! Cela dit, mes aléas boursiers ont été pour moi une occasion en or de méditer sur l'impermanence...

ça ne s'affiche pas les diplômes c'est vulgaire

Affiches les tiens si ça fait ton bonheur.

Tant qu'à y être, ce serait pas mal de t'en faire délivrer un avec des néons, comme ceux qu'on voit sur les enseignes commerciales. Tant qu'à t'afficher...

D'ailleurs, j'ai ma théorie sur les doctorats. Sauf exeption (ex. médecine) et pour ce que j'ai pu constater de visu, ce n'était pas les meilleurs étudiants qui allaient jusqu'au doctorat, mais ceux qui étaient laissés sur le carreaux parce que médiocres et qui, plutôt que se retrouver au chômage ou dans une jobine quelconque, poursuivaient leurs études; ce qui bien évidemment faisait aussi l'affaire des universités qui pouvaient, même avec ces rejets, continuer à faire fonctionner leurs programmes.

ouais je la connais ta théorie tu me l'avais déjà sortie...
c'est vrai ceux qui s'engagent dans un doctorat ne veulent pas faire une jobine quelconque. ils souhaitent mener une activité de recherche par ce qu'ils ont de la curiosité pour un sujet et qu'ils ont envie d'en savoir un peu plus. ce diplôme c'est une titre de star à mettre sous les projecteurs, je connais personne qui le fait pour la gloire, se faire appeler docteur et ce n'est absolument pas un achèvement effectivement ça marque la fin d'une période de savie de son apprentissage académique mais le métier n'est pas acquis avec le titre. il faut enchaîner des contrats post doctoraux à l'étranger, faire de la recherche, publier ses travaux dans de bonnes revues, être reconnu par ses pairs, être capable de trouver les financements de sa recherche mais aussi transmettre le savoir en encadrant des étudiants, donnant des cours, je sais pas je trouve pas ça plus médiocre qu'un mec qui derrière un ordinateur crache sa bave et ses rancœurs, à découvert le mot impermanence dans le dictionnaire et s'en délecte. Spécule et boursicote et s'en fout si ses actions sont d'une entreprise qui fait bosser des enfants, réclame des dividendes et tant pis si ça fout des gens au chômage...

je ne suis pas un chercheur nobélisable, je ne cherche pas à révolutionner le monde ça je l'ai déjà dit et c'est vrai je suis parti dans le Pacifique et alors c'est parce que c'est les tropiques qu'on doit s'abstenir de toute recherche tu sais des gens vivent là bas , y travaillent ce n'est pas qu'un lieu de vacances pour occidentaux en mal d'exotisme. la vie y es trude et modestement j'ai apporté ma part à l'économie de l'île et j'ai tenté de répondre à une question que se posait les aquaculteurs là bas qui ont du mal à vivre économiquement et à faire face à des mortalités dans leurs bassins.

Tu ne devrais pas lui expliquer ce genre d'explication, il ne peut pas comprendre, il est trop médiocre.

Ronan a juste débité le blabla convenu.

C'est juste regrettable, pour lui, qu'il ne soit pas né au temps béni des colonies, alors que la France doublait le salaire de ses chercheurs, passant cela au compte de la coopération internationale pour bien paraître, avant de les expatrier dans ses colonies.

Après un siècle, pas un seul chercheur africain ou autre n'avait été formé -- les chercheurs expatriés Français gardant pour eux cette lucrative chasse-gardée. C'est finalement via la coopération internationale, surtout anglophones, que les instituts nationaux de recherche agronomique ont pu se former dans les ex-colonies françaises.

Un scandale sur le plan financier, une honte sur le plan scientifique et un crime sur le plan humanitaire. C'est ça, le visage véritable de l'histoire de la recherche française sous les Tropiques.