Scandalisation: un vidéo armée/torture de chien et irakien

Ça me fait rire de voir les gens scandalisés dire qu'il n'y a pas d'excuse pour tel comportement, d'autres affirmer que c'est un trouble psychologique,qu'ils comprennent pas comment quelqu'un peut en arriver là.

Tout ce qu'on fait est une question d'attachement ou de détachement. Culpabilité ou non. Émotions ou absence d'émotions.

Troubles psychologiques ou façons différentes de fonctionner?

On peut regarder des petits africains mourant de faim envahient par les mouches et continuer à vivre. Un collègue de travail pas très proche devient paraplégique à la suite d'un accident d'auto.... toujours bof. On apprend via la télévision, qu'une petite fille à été retrouvée violée et morte, toujours un, bon une autre.La maison d'un ami est incendiée, on est touché et plein de compassion.

Ça revient toujours à se sentir concerné ou non.

Qui n'a pas, entre amis, rigolé dans le dos de quelqu'un?
Qui n'a pas crié yes sire après avoir tué une centaine de soldats dans un jeu vidéo?
Qui n'a pas pris un malin plaisir à voir quelqu'un tomber et se faire mal?
Qui ne souhaite pas impulsivement la mort de quelqu'un lorsqu'il est extrêmement en colère?

Dans cette liste d'actions, lesquelles sont plus cruelles,souffrantes pour les victimes et/ou lesquelles découlent de troubles mentaux d'après vous?

-Jeter une perruche par la fenêtre à -40 parce qu'on est frustré.

-Jeter un chat du 3e étage parce qu'on ne peut plus le supporter.

-Enfant,courir après son frère ou sa soeur avec un couteau de boucher pour lui faire peur.

-Casser le cou d'une gerboise parce qu'elle a une patte cassée.

-Aux funérailles du grand-père, marcher dans l'allée en trainant une soucoupe volante en carton écrit godspeed dessus, pour aller cracher sur son cercueil ouvert.

-Jeter un mégot de cigarette sur le sol.

-Rire des juifs qui montent dans le train pour aller se faire gazer.

-Rire d'un enfant qui se fait couper la tête dans un dessin animé.

-Rire des obèses dans l'émission qui perds gagne.

-S'éloigner de quelqu'un qui pue sans lui dire.

*Pis les abeilles elles piquent pour se défendre??

BULLSHIT, C'EST DES CRISS DE FOLLES!!!

Huginmunin a écrit:

Ça me fait rire de voir les gens scandalisés dire qu'il n'y a pas d'excuse pour tel comportement, d'autres affirmer que c'est un trouble psychologique,qu'ils comprennent pas comment quelqu'un peut en arriver là.

Tout ce qu'on fait est une question d'attachement ou de détachement. Culpabilité ou non. Émotions ou absence d'émotions.

Troubles psychologiques ou façons différentes de fonctionner?

On peut regarder des petits africains mourant de faim envahient par les mouches et continuer à vivre. Un collègue de travail pas très proche devient paraplégique à la suite d'un accident d'auto.... toujours bof. On apprend via la télévision, qu'une petite fille à été retrouvée violée et morte, toujours un, bon une autre.La maison d'un ami est incendiée, on est touché et plein de compassion. C'est vrai que c'est difficile à expliquer qu'on soit assez indifférent à l'agonie d'un bébé africain sur le sein de sa mère, le ventre enflé comme un ballon de plage, les yeux vitreux, le nez morveux, des mouches autour de la bouche, tout couvert de poussière et déjà dans les limbes, alors que la cruauté animale nous renverse cent fois plus. D'après moi, c'est qu'on a un lien affectif direct avec les animaux. Qui n'a pas eu un chat ou un chien sur lequel il a jeté son amour? Il faut aussi dire que les fils et filles de cultivateurs sont probablement moins sensibles. Et nous sommes très majoritairement enfants des villes...

Ça revient toujours à se sentir concerné ou non.

Qui n'a pas, entre amis, rigolé dans le dos de quelqu'un?
Qui n'a pas crié yes sire après avoir tué une centaine de soldats dans un jeu vidéo?
Qui n'a pas pris un malin plaisir à voir quelqu'un tomber et se faire mal?
Qui ne souhaite pas impulsivement la mort de quelqu'un lorsqu'il est extrêmement en colère?

Dans cette liste d'actions, lesquelles sont plus cruelles,souffrantes pour les victimes et/ou lesquelles découlent de troubles mentaux d'après vous?

-Jeter une perruche par la fenêtre à -40 parce qu'on est frustré.

-Jeter un chat du 3e étage parce qu'on ne peut plus le supporter.

-Enfant,courir après son frère ou sa soeur avec un couteau de boucher pour lui faire peur.

-Casser le cou d'une gerboise parce qu'elle a une patte cassée.

-Aux funérailles du grand-père, marcher dans l'allée en trainant une soucoupe volante en carton écrit godspeed dessus, pour aller cracher sur son cercueil ouvert.

-Jeter un mégot de cigarette sur le sol.

-Rire des juifs qui montent dans le train pour aller se faire gazer.

-Rire d'un enfant qui se fait couper la tête dans un dessin animé.

-Rire des obèses dans l'émission qui perds gagne.

-S'éloigner de quelqu'un qui pue sans lui dire.

*Pis les abeilles elles piquent pour se défendre??

BULLSHIT, C'EST DES CRISS DE FOLLES!!!

Ce fil me renvoit au triste souvenir et aux réels remords de quelques cruautés que je confesse avoir commises enfant sur des mouches, quelques salamandres et même une grenouille...

Il faut aussi dire que dans les familles rurales, on se débarrassait systématiquement des portées de chats ou de chiens non désirées...

Je persiste a croire que de lancer un chien au bas d'une falaise juste pour le "fun" n'a rien d'amusant. Au final, je suis préoccupé pour la santé mental du soldat plus que pour le chien. Il aurait pu trancher la gorge du chien et se faire un bon petit déjeuner avec le chiot, ça ne m'aurait pratiquement pas dérangé. Mais, ce qu'il à fait est gratuit, et en tirer du plaisir à quelque chose de malsains.

Remplacer par n'importe quoi ________________________ et en tirer du plaisir à quelque chose de malsains.

Le geste le plus dégueux de ma vie:

J'étais à l'étranger, puis une "chatte sans domicile fixe" a eu ses petits chez moi.

Je ne voulais pas être pogné avec sa portée et j'ai décidé de noyer ses p'tits... Je sais! C'est laid en crisse!! Et j'en ai honte aujourd'hui.

Le pire, c'est que je les ai laissés pour morts, mais ils n'étaient pas morts... A fallu alors que je les enterre pour les achever.

C'était la meilleure chose à faire! mais, je suis encore hanté par ces p'tits chats...

Gaucho a écrit:

Le geste le plus dégueux de ma vie:

J'étais à l'étranger, puis une "chatte sans domicile fixe" a eu ses petits chez moi.

Je ne voulais pas être pogné avec sa portée et j'ai décidé de noyer ses p'tits... Je sais! C'est laid en crisse!! Et j'en ai honte aujourd'hui.

Le pire, c'est que je les ai laissés pour morts, mais ils n'étaient pas morts... A fallu alors que je les enterre pour les achever.

C'était la meilleure chose à faire! mais, je suis encore hanté par ces p'tits chats...

Est ce que tu as commis ce geste parce que tu étais à l'étranger?

J'aurais pas fait ça ici où il y a le vétérinaire et la spa.

Faut aussi dire qu'enfant à la campagne, comme je l'ai écrit précédemment, on se débarrassait en les tuant des portées de chats non voulues. C'était peut-être la mécanique mimétique plus ou moins consciente d'un vieil acquis culturel...

J'ai fais une recherche rapide sur internet afin de trouver des études sur les ''remords''. Et je suis tombé là dessus.


On assiste depuis peu à un regain d'intérêt quant aux condamnations injustifiées au Canada. La plupart des recherches, toutefois, ont porté principalement sur les nombreux facteurs qui contribuent au problème; elles négligent en grande partie les personnes les plus directement touchées par ces erreurs judiciaires - les victimes elles-mêmes. La présente recherche vise à faire valoir les propos et le vécu de cinq Canadiens condamnés injustement, et cela, par le biais d'entrevues approfondies au cours desquelles ceux-ci racontent leur arrestation, leur incarcération et leur libération.
Les répondants affirment qu'au moment de l'arrestation, ils ont été victimes de "vision téléscopique" et de muvaise conduite de la part des instances. Ils ont utilisé plusieurs stratégies d'adaptation perfectionnées alors qu'ils étaient emprisonnés, telles que la collaboration, le repli sur soi-même, la recherche constante de l'exonération, et le rejet de l'étiquette de "criminel". Le fait de clamer son innocence tout au long de l'incarcération a eu des conséquences notables, comme celle d'être perçu par l'administration carcérale comme étant à haut risque de récidiver. De plus, comme ils clamaient constamment leur innocence, les répondants vivaient une incertitude constante quant à leur date de libération. Enfin, ils disent avoir vécu des problèmes à la suite de leur libération, dont une intolérance face à l'injustice et un désir d'obtenir une indemnisation. Ces recherches démontrent l'importance de tenir compte, dans le cadre de l'élaboration des pratiques et politiques en justice pénale, de l'expérience de ces victimes de condamnations injustifiées.


source: http://www.ccja-acjp.ca/fr/rcc/rcc46r2.html

Il y a tellement un beau lien à faire avec l'époque de l'Inquisition

Huginmunin a écrit:

J'ai fais une recherche rapide sur internet afin de trouver des études sur les ''remords''. Et je suis tombé là dessus.


On assiste depuis peu à un regain d'intérêt quant aux condamnations injustifiées au Canada. La plupart des recherches, toutefois, ont porté principalement sur les nombreux facteurs qui contribuent au problème; elles négligent en grande partie les personnes les plus directement touchées par ces erreurs judiciaires - les victimes elles-mêmes. La présente recherche vise à faire valoir les propos et le vécu de cinq Canadiens condamnés injustement, et cela, par le biais d'entrevues approfondies au cours desquelles ceux-ci racontent leur arrestation, leur incarcération et leur libération.
Les répondants affirment qu'au moment de l'arrestation, ils ont été victimes de "vision téléscopique" et de muvaise conduite de la part des instances. Ils ont utilisé plusieurs stratégies d'adaptation perfectionnées alors qu'ils étaient emprisonnés, telles que la collaboration, le repli sur soi-même, la recherche constante de l'exonération, et le rejet de l'étiquette de "criminel". Le fait de clamer son innocence tout au long de l'incarcération a eu des conséquences notables, comme celle d'être perçu par l'administration carcérale comme étant à haut risque de récidiver. De plus, comme ils clamaient constamment leur innocence, les répondants vivaient une incertitude constante quant à leur date de libération. Enfin, ils disent avoir vécu des problèmes à la suite de leur libération, dont une intolérance face à l'injustice et un désir d'obtenir une indemnisation. Ces recherches démontrent l'importance de tenir compte, dans le cadre de l'élaboration des pratiques et politiques en justice pénale, de l'expérience de ces victimes de condamnations injustifiées.


source: http://www.ccja-acjp.ca/fr/rcc/rcc46r2.html

Il y a tellement un beau lien à faire avec l'époque de l'Inquisition

Je me suis reconnu dans ce texte. Car mon bannissement n'a jamais été mérité. D'ailleurs, j'ai mis les modérateurs au défi de me citer dans le texte ce qui aurait pu le justifier. Etre banni soit! mais pour rien, ça je ne le prends vraiment pas!!!

J'ai toujours clamé cela et je souhaite de tous mes voeux à Daiva tout le bien qu'elle mérite....

Cela dit, je préfère beaucoup ce forum à celui des avortons!!!

Ok...


La J,ai envie de devenir un osti de fou mais ciboire!

Je serais le premier a le faire si je M'emmerderais la bas j'adore les animaux mais ya un moment donné ou quand té 24heures sur 24 avec un gun dans les mains pi tu sais aps si un Kamikaze va venir te sauter dans face ta envie de Relaxer pi crisser un chien en bas d'une falaise spo si pire que ca...

J'aurais plus tendance à vouloir faire souffrir un de mes semblable qu'un chiot. Entre hommes et bêtes mon choix est clair. Je suis probablement désaxée.

tu ne serais donc pas nymphomane?

C'est quoi le rapport?

Faire souffire,chiot,desaxée,nymphomane et rapport .. Ce topic est génial !

a pas compris