Je suis un amant poche

Ouais, je suis poche. J'aime cunilingué, j'aime passé mes doigts, j'Aime me faire blower et j'aime surtout fourrer comme on dit par chez nous.

Mais moi, l'anal, je trouve ca poche. Pire, ca me dégoute. Moi, mon anus, il s'appelle "pas touche" et je trouve que ca lui va bien.

Pis, la la, les filles qui se rasent a la peau a un point tel qu'on dirait une pré-pubaire de 12 ans, ben j'aime pas ca.

Tsé, du duvet, c'Est doux. Je parle pas de l'Amazonie. Je parle du parc St-Charles.

Pis frencher, ca veut pas dire licher la face. Ostie.

Quelle opinion rétrograde.

...

0411 a écrit:

Pis, la la, les filles qui se rasent a la peau a un point tel qu'on dirait une pré-pubaire de 12 ans, ben j'aime pas ca.
Tsé, du duvet, c'Est doux. Je parle pas de l'Amazonie. Je parle du parc St-Charles.

Quand c'est intégral c'est un peu laid. Quand c'est rasé juste correct c'est ben le fun à manger. Mais quand ya trop de pouelle c'est un peu dégeulasse.

Pis frencher, ca veut pas dire licher la face. J'ai jamais compris cette obsession du french. Si elles aiment jouer avec la langue, qu'elles aient la bonté de descendre un peu ... Quel besoin de ressembler à un chien baveur ? De façon encore plus générale, je fais très bien sans baiser. Si j'en perçois l'intérêt dans la phase de "préliminaires, cette manie de venir embrasser pendant qu'on baise est horripilante. Un peu comme si elles se sentaient obligées de rappeler toutes les 3 secondes "oui, je suis une slut, je t'ai croisé y'a 45 minutes et je suis sur toi, mais c'est sérieux, tu sais, hein ? Oh, c'est sérieux, la vache ce que c'est sérieux, putain, je suis pas juste une slut ...". Je ne sais trop s'il faut y voir une tentative de nous lier réellement affectivement, ou juste l'expression de leur incapacité à assumer leur comportement de salope au rabais (je pars du principe qu'une belle salope charmante et efficace est capable de garder son mec, et ne couche pas avec moi, si c'est juste pour un coup. Ce qui implique que la fille qui me dit OK est nécessairement aussi inefficace que dévoyée). Ostie.[/quote][/quote]

peux tu développer?

Arbiter Elegantiarum a écrit:

0411 a écrit:

Ouais, je suis poche. J'aime cunilingué, j'aime passé mes doigts, j'Aime me faire blower et j'aime surtout fourrer comme on dit par chez nous. Ben, à part cunilinguer, je suis d'accord avec toi, et je pense qu'on se ressemble tous.

Mais moi, l'anal, je trouve ca poche. Pire, ca me dégoute. Moi, mon anus, il s'appelle "pas touche" et je trouve que ca lui va bien. So ? Moi aussi, mon anus il s'appelle "pas touche". Ca m'empêche pas d'aimer l'anal. C'est des sensations différentes, un contexte différent, etc ... Suffit de savoir l'orchestrer.

Pis, la la, les filles qui se rasent a la peau a un point tel qu'on dirait une pré-pubaire de 12 ans, ben j'aime pas ca. Moi non plus. Déjà, ça me choque esthétiquement (même si je me vois très bien me faire une prépubère, par ailleurs), mais surtout, 9 fois sur 10, elles savent pas le faire et pèchent par excès de zèle. Ca repousse mal, et dru, ça pique et ça leur file des boutons.

Tsé, du duvet, c'Est doux. Je parle pas de l'Amazonie. Je parle du parc St-Charles. L'autre problème est celui de la "coupe" pubienne.

Pis frencher, ca veut pas dire licher la face. J'ai jamais compris cette obsession du french. Si elles aiment jouer avec la langue, qu'elles aient la bonté de descendre un peu ... Quel besoin de ressembler à un chien baveur ? De façon encore plus générale, je fais très bien sans baiser. Si j'en perçois l'intérêt dans la phase de "préliminaires, cette manie de venir embrasser pendant qu'on baise est horripilante. Un peu comme si elles se sentaient obligées de rappeler toutes les 3 secondes "oui, je suis une slut, je t'ai croisé y'a 45 minutes et je suis sur toi, mais c'est sérieux, tu sais, hein ? Oh, c'est sérieux, la vache ce que c'est sérieux, putain, je suis pas juste une slut ...". Je ne sais trop s'il faut y voir une tentative de nous lier réellement affectivement, ou juste l'expression de leur incapacité à assumer leur comportement de salope au rabais (je pars du principe qu'une belle salope charmante et efficace est capable de garder son mec, et ne couche pas avec moi, si c'est juste pour un coup. Ce qui implique que la fille qui me dit OK est nécessairement aussi inefficace que dévoyée). Ostie.

Intéressant de voir que la majorité des intervenants de ce sujet sont célibataires! vous êtes peut être trop exigeant ou idéalistes face au sexe? Vos commentaires devraient être adressés aux partenaires concernés(es) plutôt que de vous vider le coeur à défaut des couilles, sur un forum.

Et je me demande sincèrement quel est le but, de livrer ce genre d'information.....Que les femmes entendent le message et changent de comportement? Ce qui plait à certains ne plait pas nécessairement aux autres.Certains semblent tenter de montrer une ouverture d'esprit tout en étant absolument fermés et intolérants.

Pour ce qui est du french....Je ne crois pas que c'est automatiquement un signe,une marque, un besoin d'intimité plus profonde ou d'amour.Et aimer embrasser son partenaire à pleine bouche, avant, pendant et après la relation sexuelle n'est pas un comportement typiquement/uniquement féminin.La bouche et la langue, le symbole de l'entremêlemant de salive sont simplement des zones érogènes pour plusieurs.

Tu n'aimes pas? Tu en parles à ton ou ta partenaire et tu viens pas faire chier le monde. Sérieusement purif, achètes toi donc une chèvre ou baise un steak saignant coincé sous la lunette des toilettes au lieu de polluer des femmes que tu ne respectent même pas avec ta semence de junkie narcissique flétri et fini.

Yep Huginmunin d'accord avec toi et "polluer des femmes" leur imposer une soi disant domination ou puissance c'est au final plus facile et lâche que de juter sur le miroir de la salle de bain. Avec elles pas de reflet troublé par le foutre renvoyant l'image réelle de ses turpitudes, de sa misère humaine et ses échecs.

Huginmunin a écrit:

Tu n'aimes pas? Tu en parles à ton ou ta partenaire et tu viens pas faire chier le monde.

Moi ce qui me débecte encore plus que tout ça, c'et ce terme de "partenaire".

Bordel mais on vit une époque de fous !!! Autrefois et quand je dis autrefois je dis il y a 20 ans, on aurait parlé de fiancée, petite amie, amoureuse, amante, femme et.... Aujourd'hui, à l'image d'une société qui refuse toujours plus de s'investir sentimentalement, de s'engager émotionnellement, qui prend toute relation avec futilité, une jeunesse pour laquelle le sexe est devenu une activité de loisir dénuée de toute responsabilité (à part mettre une capote, comme si le seul risque que l'on prenait en faisant l'amour était le risque de maladie vénérienne), le sexe est devenu un sport !!!

A l'instar d'un type qui va louer le terrain de tennis d'à coté pour faire une heure de double avec sa partenaire. On loue des chambres d'hôtel miteux à l'heure pour faire une heure de partie de jambe en l'air avec sa "partenaire" du momment.

Le Jam a écrit:

Huginmunin a écrit:

Tu n'aimes pas? Tu en parles à ton ou ta partenaire et tu viens pas faire chier le monde.

Moi ce qui me débecte encore plus que tout ça, c'et ce terme de "partenaire".

Bordel mais on vit une époque de fous !!! Autrefois et quand je dis autrefois je dis il y a 20 ans, on aurait parlé de fiancée, petite amie, amoureuse, amante, femme et.... Aujourd'hui, à l'image d'une société qui refuse toujours plus de s'investir sentimentalement, de s'engager émotionnellement, qui prend toute relation avec futilité, une jeunesse pour laquelle le sexe est devenu une activité de loisir dénuée de toute responsabilité (à part mettre une capote, comme si le seul risque que l'on prenait en faisant l'amour était le risque de maladie vénérienne), le sexe est devenu un sport !!!

A l'instar d'un type qui va louer le terrain de tennis d'à coté pour faire une heure de double avec sa partenaire. On loue des chambres d'hôtel miteux à l'heure pour faire une heure de partie de jambe en l'air avec sa "partenaire" du momment.

Je suis d'accord avec toi par contre j'utilise justement le terme partenaire afin d'éviter les oui mais moi je suis en couple, oui mais moi je suis marié, oui mais moi je baise tout ce qui bouge, oui mais moi je suis en couple mais pas en couple, oui mais moi j'ai un/e amant/e, oui mais moi j'ai un baise à usage unique, oui mais moi j'ai un fuckfriend, oui mais moi je suis puceau, oui mais moi je suis mélangé, oui mais moi je ne sais pas comment définir ma relation, oui mais moi je prône l'abstinence, oui mais moi j'aime pas les filles qui pue de la noune, oui mais moi je prèfère les chiens,oui mais moi je baise de façon cérabrale, oui mais moi je vie en couple avec ma main ou mon vibrateur,oui mais moi je me fais baiser par mon père...

RonanFarfromKNKY a écrit:

Yep Huginmunin d'accord avec toi et "polluer des femmes" leur imposer une soi disant domination ou puissance c'est au final plus facile et lâche que de juter sur le miroir de la salle de bain. Avec elles pas de reflet troublé par le foutre renvoyant l'image réelle de ses turpitudes, de sa misère humaine et ses échecs.

L'abus de pouvoir a ceci de bien pratique qu'il est rétrojustifiant : si l'autre se laisse faire, exercer ton pouvoir sur lui n'est pas un abus. Par ailleurs, j vois dans la domination (même si je ne me limite pas et que je n'ai que très peu d'occasions de pratiquer) un sommet du contact humain, bien éloigné de la branlette devant le miroir que tu décris. Mes turpitudes sont parfaitement assumées et souvent même surestimées chez moi. Plus mauvais dans mon miroir que je ne le suis dans le fond, je ne cesse de me vouloir plus turpide, et de me battre pour coller à mon nouveau portrait. Et globalement, j'y parviens, pour mon plus grand plaisir. Quant à la misère humaine, c'est la même pour tous, ceux qui se branlent devant le miroir, ceux qui dominent et élèvent, ceux qui dominent et saccagent, et ceux qui baisent "vanille". Je ne vois pas exactement le lien ... En quoi le fait de ne pas imposer une domination à une femme te permettrait d'échapper à "la misère humaine", au juste ? Tu voudrais bien nous la définir, parce que depuis ZOLA, je ne sais pas bien ce que ça veut dire. C'est des grands mots et ça rend bien, mais ça a quelle gueule, concrètement, la misère humaine, chez moi et les autres ?

je veux dire que pour moi ce faire plaisir en dominant et insultant la femme lors d'un rapport revient au même que se branler devant un miroir...puisque ce que tu cherches c'est juste d'épouvrer un sentiment de ta puissance et de ta force véritable ou non. ce n'est plus deux personnes qui souhaitent partager un moment de plaisir. donc autant te branler seul ça évitera à la fille d'être humiliée. Sauf que le problème du miroir c'est l'image qu'il renvoie, celle-ci est véridique c'est juste soi alors que celle dans le regard de la fille bousculée elle donne du galon, fait gonfler d'orgueil le mec. et je trouve ça pervers et malsain. irrespectueux de l'humanité, et non pour moi un couple qui fait l'amour par amour n'est pas misérable et encore moins comparable au reste.

Je me demande si la complicité en apparence très forte d'une relation de type SM n'est pas une illusion de complicité et qu'en fait chaque individu arrive seul avec son bagage de traumatismes psychologique et va balancer sur l'autre dans une mise en scène tous ses fantasmes refoulés (et qui pour le coup il faut l'admettre ne le sont plus). Une mise en scène un peu à l'image des jeux de rôles que vous proposes un psy en séance.

Tu mélanges deux choses : la "séance" cathartique SM (rarissime et mal vue dans le milieu) et des relations plus complètes qui ne seraient pas viables sur le long terme sans réelle harmonie.

On peut être poche dans les bras de quelqu'un et génial dans les bras de quelqu'un d'autre. Et la qualité du sexe n'est pas juste dans la performance, contrairement à ce que peuvent penser plusieurs. C'est loin d'être impressionnant quand le gars ou la fille se vante de l'avoir fait pendant trois jours et d'avoir tout essayé et d'avoir joui x fois en ligne ect... Moi , y a des hommes que j'embrasse et d'autres pas. Y a des choses que je ferai avec un homme que je ne ferai jamais avec un autre. je n'ai pas de conjoint présentement, mais j'aime apprendre à connaitre l'homme qui va me toucher. Les histoires d'un soir nous laissent souvent plus sur notre faim qu'autre chose...

On a parlé du baiser.

J'ai lu quelque part que le baiser sur la bouche, avant d'être sexuel, était spirituel -- et je ne parle pas de religion ici.

J'imagine un monde où la sexualité et la spiritualité seraient ensemble un culte à la célébration de l'Univers.

T'es pas bouddhiste, toi ? Cesse de rêver et rejoint l'école du tantra.

Gaucho a écrit:

On a parlé du baiser.

J'ai lu quelque part que le baiser sur la bouche, avant d'être sexuel, était spirituel -- et je ne parle pas de religion ici.

J'imagine un monde où la sexualité et la spiritualité seraient ensemble un culte à la célébration de l'Univers.

Ça s,est déjà fait. Dans la mythologie grecque, y avait des orgies sacrées.

Oui. Avouons maintenant, en toute franchise qu'elles n'avaient rien de sacré. Le rôle de la mythologie grecque était strictement social, et la spiritualité s'est perdue avec les grecs les plus archaïques. Les grecs étaient pas spécialement cons, et imaginer qu'ils auraient pu réellement croire en cette armée de dieux bidons est leur faire bien peu d'honneur. On se les imagine, naïvement, rendre grâce ou prier Apollon et Arès (ou le dieu du franchissement des portes, qui existait vraiment, ou la nymphe de tel ruisseau merdique que personne ne connaissait). A cause de l'art classique, de la mythologie grecque elle-même, qui présente des bouffons immolant leur fille pour gagner les faveurs d'un dieu et un coup de vent salvateur, mais c'est de la branlette : la mythologie grecque servait à maintenir la cohésion sociale, fournir un substrat riche à la création artistique, et faire des grandes bouffes et des temples qui en jetaient un max. Il ne se trouvait bien sûr pas un seul couillon pour y croire, et si on a beaucoup exagéré l'importance des orgies en Grèce, il ne faut en tout cas pas douter de la valeur spirituelle nulle de ces évènements (épisodiques et très surfaits).

Comme ça c'est clair.

Tiens! ça me rappelle tout d'un coup que aujourd'hui , y a un illuminé qui s'appelle Raël et qui prétend communiquer avec les extras-terrestres en baisant. Selon ''sa'' Bible, baiser est une prière.

Je croyais que c'était Romain les orgies.

Le Jam a écrit:

Je croyais que c'était Romain les orgies.

Les premiers furent les grecs avec les dyonisies. Mais dans les faits, c'est l'introduction de divinités de plus en plus bidons et lointaines et donc "glamour exotiques" chez les romains qui a lancé les grandes orgies populaires : je ne parle ici que des orgies populaires, car chez les grecs comme chez les romains où toutes les autres civilisations, la décadence se passait de l'excuse de la spiritualité, chez les grands. Les romains, peuple infiniment plus conquérant que les grecs et soucieux de garder sous son contrôle et développer les provinces acquises, tout en raffermissant son contrôle et travaillant à l'intégration de ses nouveaux citoyens (les grecs se contentaient de les appeler "métèques" et de les traiter en femmes/enfants, c'est pour ça qu'ils n'ont jamais eu un empire digne de leur puissance militaire) a pris le parti d'intégrer les cultes de ces divinités orientales, qui sont devenues très "hypes" à l'époque. Devant le succès même commercial de ces soirées à l'origine faites pour les ressortissants étrangers, les cultes ont été de plus en plus dévoyés et sont rapidement devenues le prétexte à des orgies diverses et variées. Tous les avatars de la "première mère" en particulier ont donné lieu à des orgies spéciales, certaines aquatiques, d'autres déguisées, d'autres basées sur les des délires lactophiles avec des femmes enceintes, and so on ...

délires lactophiles groar...

La maïeusophilie (et tout ce qui s'y rapporte) a toujours éclaté nos ancêtres ^^

Jusqu'au Moyen-Âge, c'était vraiment récurrent.

JoJo a écrit:

délires lactophiles groar...

J'imagine, un genre de régression infantine, de bestialité primaire et et de perversion en jouant dans des jeux sexuels avec la bouffe des enfants.

Ouais. Mon Dieu ce que c'est un wild et pervers ! Du lait ! Des nichons ! AAAAAAAAAAAAARGH !

PS : En passant, reste que ça avait vraiment un sale putain de goût, le peu de lait de femme que j'ai bu """adulte""".

Je n'avais nullement en tête les orgies grecques ou romaines et encore moins les bouffonneries de Raël.

Je pensais à l'hindouisme (Krishna) et surtout la période bouddhiste indienne, où l'union sexuelle était une célébration de la Nature, une union à l'Univers entier. Le sexe était infiniment plus qu'un coït.