Savoir

On devrait pas être obligé d'écrire quelque chose quand on crée un sondage.

C'est qui l'imbécile heureux qui a voté : continuer de vivre?

Si il n'y a rien après la mort, ni souvenirs, ni restants de sensations à quoi bon endurer autant de souffrances, pour vivre des petits moments de plaisirs?

Le bonheur vas et vient, la souffrance est un boulet que l'on traîne.

Le bonheur est une sensation éphémère bonne à garder en mémoire pour continuer à continuer.Le plaisir n'est qu'espoir, l'espoir n'existe plus si la mort devient néant.

La souffrance s'installe et ne te quitte jamais vraiment.

Est ce qu'on endure la souffrance parce que le sensation de plaisir en vaut la peine?

Ou parce qu'on cède aux caprices de l'espoir devant l'inconnu? En l'occurence, la mort.

C'est moi l'imbécile !
On ignore si il y a quelque chose après, alors autant faire comme si il n'y avait rien.
Il y a aussi une différence entre plaisir et souffrance Hugin.
Le bonheur persiste, le plaisir lui est sporadique.
Si la souffrance ne te quitte jamais vraiment, c'est dommage.
Anyway, moi j'aime bien vivre.

je suis déja convaincue qu'il n'y a rien.

mais comme jojo, j'aime vivre et, au contraire, je suis stupéfaite de la vitesse à laquelle on (je?) oublie les mauvais moments.

tu dis qu'on continue peut être par espoir de quelquechose de mieux après la mort.
moi je continue parce que j'ai l'espoir que ma vie elle-même m'apporte encore beaucoup de bonheur.

oh que j'aime dire des lieux communs pareils. décidemment, l'ambiance mariage/bébé de mon entourage me met de bonne humeur.

Il n'y a définitivement rien après la mort, ca serait scientifiquement impossible de penser le contraire.

La mort est de loin ma plus grande peur justement car je sais qu'il n'y a rien de l'autre coté et que le néant fait extrêmement peur.

Au moins, ceux qui croit en quelque chose peuvent avoir une vie beaucoup plus heureuse car dans le tête de croyant, ils n'ont pas a craindre le vide absolue... Parfois je me dis que j'aimerais ca être croyant juste pour arrêter de vivre dans la crainte de crever...

JoJo a écrit:

C'est moi l'imbécile !
On ignore si il y a quelque chose après, alors autant faire comme si il n'y avait rien.
Il y a aussi une différence entre plaisir et souffrance Hugin.
Le bonheur persiste, le plaisir lui est sporadique.
Si la souffrance ne te quitte jamais vraiment, c'est dommage.
Anyway, moi j'aime bien vivre.

Le bonheur persiste? Ah bon???? Première nouvelle.


Je me fou que tu as envie de faire l'autruche, de pas te poser de questions et vivre parce que tu aimes la vie et que tu préfères espèrer qu'il y a quelque chose..

La question du sondage est: Si il n'y avait rien après la mort que choisirais tu?

ToujoursFrais a écrit:

Il n'y a définitivement rien après la mort, ca serait scientifiquement impossible de penser le contraire.

La mort est de loin ma plus grande peur justement car je sais qu'il n'y a rien de l'autre coté et que le néant fait extrêmement peur.

Au moins, ceux qui croit en quelque chose peuvent avoir une vie beaucoup plus heureuse car dans le tête de croyant, ils n'ont pas a craindre le vide absolue... Parfois je me dis que j'aimerais ca être croyant juste pour arrêter de vivre dans la crainte de crever...

Scientifiquement impossible.... Je m'excuse mais croire en la science et se satisfaire d'un point d'interrogation ou du non prouvé, est une croyance.

Huginmunin a écrit:

Le bonheur persiste? Ah bon???? Première nouvelle.

Je me fou que tu as envie de faire l'autruche, de pas te poser de questions et vivre parce que tu aimes la vie et que tu préfères espèrer qu'il y a quelque chose..

La question du sondage est: Si il n'y avait rien après la mort que choisirais tu?

Le bonheur est un état hugin.
J'aime vivre dans un état constant de bien-être, malgré les p'tits désagrément et les malheurs passés.
Je ne préfère pas espérer qu'il y a quelque chose, je n'y crois déjà pas.
Ma réponse est donc adéquate pour MOI.
Si c'est faire l'autruche pour toi tant pis!
Tant qu'à être là autant en profiter pour passer un bon moment.

cibiou a écrit:

je suis déja convaincue qu'il n'y a rien.

mais comme jojo, j'aime vivre et, au contraire, je suis stupéfaite de la vitesse à laquelle on (je?) oublie les mauvais moments.

tu dis qu'on continue peut être par espoir de quelquechose de mieux après la mort.
moi je continue parce que j'ai l'espoir que ma vie elle-même m'apporte encore beaucoup de bonheur.

oh que j'aime dire des lieux communs pareils. décidemment, l'ambiance mariage/bébé de mon entourage me met de bonne humeur.

Tu es convaincue mais le doute demeure, sinon nous n'aurions pas cette conversation aujourd'hui. Le sang pleuverait. Des milliers de gens se donneraient la mort sur le champ.D'autres gambaderaient comme des hystériques à la recherche de victimes à tuer pendant que les cons se batteraient pour vivre afin d'échapper à la non existence et pouvoir apprécier la vue des braillards dans leur berceau,des arbres centenaires et des gribouillages sur des toiles.

JoJo a écrit:

Huginmunin a écrit:

Le bonheur persiste? Ah bon???? Première nouvelle.

Je me fou que tu as envie de faire l'autruche, de pas te poser de questions et vivre parce que tu aimes la vie et que tu préfères espèrer qu'il y a quelque chose..

La question du sondage est: Si il n'y avait rien après la mort que choisirais tu?

Le bonheur est un état hugin.
J'aime vivre dans un état constant de bien-être, malgré les p'tits désagrément et les malheurs passés.
Je ne préfère pas espérer qu'il y a quelque chose, je n'y crois déjà pas.
Ma réponse est donc adéquate pour MOI.
Si c'est faire l'autruche pour toi tant pis!
Tant qu'à être là autant en profiter pour passer un bon moment.

Peux tu envisager que cet état comme tu l'appelles peut être à l'opposé, la souffrance parsemées de petits plaisirs passés? Et que c'est évident qu'on aime vivre ou aimerait vivre du bien- être constent et que ce n'est pas tout à fait de notre ressort?

Je peux envisager la souffrance d'autrui, mais je ne crois pas que ce soit impossible pour la plupart d'entre nous.

JoJo a écrit:

Je peux envisager la souffrance d'autrui, mais je ne crois pas que ce soit impossible pour la plupart d'entre nous.

Ouais et c'est pour cette raison que tu traînes à la cours des miracles...

Et qu'à une certaine époque, le québec était pourvu d'une métropole ou l'ont enfermait des milliers voir des millions d'indésirables, indésirés et indésirants.

Vive les douches glacées sous pression et les électrochocs, on va te faire aimer la vie mon petit gars!!!!

JoJo a écrit:

Il y a aussi une différence entre plaisir et souffrance Hugin.

C'est déjà l'heure des révélations ?

Phoque, je voulais dire entre plaisir et bonheur .

Hugin: Je traînes à la cours des miracles? Explique!

J'ai rien à voir avec ta métropole d'indésirables ceci-dit.

JoJo a écrit:

Phoque, je voulais dire entre plaisir et bonheur .

Hugin: Je traînes à la cours des miracles? Explique!

J'ai rien à voir avec ta métropole d'indésirables ceci-dit.

T'expliquer??? Tu as clairement dis que tu te plaisais à être l'épaisse de service.

C'est une façon de ne pas prendre au sérieux tes attaques de merde tu sais.
Je suis hyper susceptible parfois, mais avec toi je me contente de hocher la tête tout sourire.

ce que je ne comprend pas hugin, c'est pourquoi tu persistes à penser qu'être heureux et se satisfaire de ce qu'on a (à savoir : une vie), c'est forcément être con.

aimer vivre, ça ne veut pas dire qu'on ne se pose pas de question, ça ne veut pas dire qu'on "préfère" faire l'autruche de peur de découvrir des vérités déplaisantes.

moi, je suis juste curieuse, j'ai envie (pour l'instant) de mener l'expérience à son terme et tant que bonheur>=souffrance, je continue.

je suis même curieuse de savoir comment ça fait quand on meurt, mais je la garde pour plus tard cette expérience là.

Je suppose que ça peut être très différent selon la mort. C'est pourquoi il importe de bien la réussir. Mourir sur le bûcher à 19 ans, c'est pas mourir en s'étouffant à 74.

mais qu'est ce qu'une mort réussie?

je ne suis pas dans ton délire esthétique et je me fous de l'image et du souvenir que ça laisserait dans les esprits.

je ne tiens pas à expérimenter la souffrance physique (pis je connais déja un peu)
ce qui m'intéresse, c'est cet infime moment où on bascule. est ce qu'on voit vraiment notre vie qui défile? la lumière et le tunnel? que dalle si c'est trop rapide?

une mort ratée à mon sens serait mourir dans son sommeil, durant un coma sans se rendre compte de rien.

cibiou a écrit:

mais qu'est ce qu'une mort réussie?

je ne suis pas dans ton délire esthétique et je me fous de l'image et du souvenir que ça laisserait dans les esprits.

je ne tiens pas à expérimenter la souffrance physique (pis je connais déja un peu)
ce qui m'intéresse, c'est cet infime moment où on bascule. est ce qu'on voit vraiment notre vie qui défile? la lumière et le tunnel? que dalle si c'est trop rapide?

une mort ratée à mon sens serait mourir dans son sommeil, durant un coma sans se rendre compte de rien.

Donc la personne qui devient alzheimer a raté sa vie?À quoi bon connaître une fraction de seconde qu'est ce que la mort si ensuite la mémoire, l'existence n'est plus?

C'est le point de beaucoup de gens qui voient dans le souvenir la source même de la notion d'être conscient. Dont certains militent pour l'euthanasie des alzihmer.

Une personne atteinet d'alzheimer n'a pas raté sa vie. tout au plus sa mort si le sujet l'intéressait.

ah quoi bon? pourquoi tout devrait avoir une utilité?

et oui, j'ai beaucoup de proches atteints de cette maladie et l'euthanasie ne serait pas une solution si horrible.

j'espère qu'ils partiront doucement et le plus vite possible maintenant.

Aucune de ces réponses.

J'ai déjà tendance à penser qu'il n'y a rien après la mort et ce n'est pas le petit doute qui me reste qui me motive à vivre, c'est autre chose.

Donc je continuerais ma vie, tout simplement. Mais avoir confirmation qu'il n'y a vraiment rien ensuite, je craindrais probablement un peu plus la mort.

Edit : Ce qui est écrit plus haut est n'importe quoi. Je n'avais pas remarqué le premier choix... D'oh!

J'ai ajouté mon vote en conséquence.

Attendez, vous êtes plusieurs à être convaincus qu'il n'y a rien après la mort et c'est la peur de ne plus exister qui vous fait le ''plus'' peur?

En quoi ne plus exister est effrayant ou dommage?

Ananas a écrit:

Aucune de ces réponses.

J'ai déjà tendance à penser qu'il n'y a rien après la mort et ce n'est pas le petit doute qui me reste qui me motive à vivre, c'est autre chose.

Donc je continuerais ma vie, tout simplement. Mais avoir confirmation qu'il n'y a vraiment rien ensuite, je craindrais probablement un peu plus la mort.

Bon, bon, madame je dois me démarquer à tout prix, que chu dont originale.

Donc je continuerais ma vie, tout simplement. C'est la version plus longue du choix numéro 1 : de continuer à vivre.

Fak ton aucune de ses réponses avec le geste : don't talk to me , talk to my hand, tu peux le réserver à ton cercle de princesse du dimanche.

Personne ne peut savoir s'il y a quelque chose ou non après la mort; chose certaine le corps se décompose et l'existence ne peut pas se poursuivre dans ce corps.

Par contre, je crois qu'il peut exister d'autres formes de vie -- par exemple, de purs esprits ou des êtres qui ont un support autre que la matière et la vie telles que nous les définissons.

Il ne serait pas impossible que nous migrions vers ces états.

Par contre, il est certain que nous entrons dans le magma de l'univers pour être refaçonné d'une quelconque manière.

Gaucho a écrit:

Personne ne peut savoir s'il y a quelque chose ou non après la mort; chose certaine le corps se décompose et l'existence ne peut pas se poursuivre dans ce corps.

Par contre, je crois qu'il peut exister d'autres formes de vie -- par exemple, de purs esprits ou des êtres qui ont un support autre que la matière et la vie telles que nous les définissons.

Il ne serait pas impossible que nous migrions vers ces états.

Par contre, il est certain que nous entrons dans le magma de l'univers pour être refaçonné d'une quelconque manière.

Cites nous un beau livre d'images!!!!

Tiens je penses qu'après la bible en papier, Claude Lafortune a fait un beau ti lélivres : les différents façonnages de l'univers, comment ne pas y échapper.

Huginmunin a écrit:

Ananas a écrit:

Aucune de ces réponses.

J'ai déjà tendance à penser qu'il n'y a rien après la mort et ce n'est pas le petit doute qui me reste qui me motive à vivre, c'est autre chose.

Donc je continuerais ma vie, tout simplement. Mais avoir confirmation qu'il n'y a vraiment rien ensuite, je craindrais probablement un peu plus la mort.

Bon, bon, madame je dois me démarquer à tout prix, que chu dont originale.

Donc je continuerais ma vie, tout simplement. C'est la version plus longue du choix numéro 1 : de continuer à vivre.

Fak ton aucune de ses réponses avec le geste : don't talk to me , talk to my hand, tu peux le réserver à ton cercle de princesse du dimanche.

hahaha! Non, ce n'est pas pour me démarquer. Mon cerveau n'avait simplement pas enregistré qu'il y avait ce choix de réponse. Je viens de me lever alors un peu d'indulgence svp!