LE POÈME INTERACTIF

Voici un jeu qui pourrait devenir interessant, puisqu'il y a tant de talents créateur sur ce forum!

Je commence un poème, et vous écrivez la suite. Attention!!! Il faut que ça rime en crime! Pas de censure... lâchez-vous lousse! Les grrrrands auteurs célèbres n'ont qu'à bien se tenir!

LE POÈME

Coulant entre mes doigts tremblants
Une rivière salée inonde mes mains
Devant le miroir, un court instant
J'ose faire face au destin

Hurlant de détresse
Je n'ai plus de répit
La laideur blesse
Quand elle grossit

Oserai-je enfin
Me libérer de mon tourment?
Crever le trop plein?
Jusqu'aux larmes de sang?

Comment puis-je attaquer
Ce monstre infecté?
Pour cesser d'avoir mal
À l'appendice nasal????

..... ( À vous la suite)

Le Bouddha a dit qu'un même sel
Coule dans le sang de tous les hommes
De leur sang ainsi que leurs larmes
Sur la voie d'un éventuel ciel

Me voilà bien sérieux
Tout cela est belle foutaise
Il faut prendre aujourd'hui ses aises
Car demain ne sera pas mieux

jano a écrit:

Et dire que je pensais
Que de beaux mots il y aurait
Poule peut tellement faire mieux
QU'une histoire de queue leu leu

Et que croire de Dabsty
Dont l'imaginaire s'enfuit
Quand vient le temps de créer
Quand vient le temps de rimer

Ce poème devient banal
Alors qu'il parlait de crever
Un gros bouton sur mon nez
Qui me fait vraiment mal!

Aidez-moi,mes amis!
Car la langue me fourche
Donnez-moi un peu d'appui
Avant que je ne louche

Sinon je devrai
M'exiler avec Gaucho
Et son Boudha, je prierai
En inondant son radeau...

Et pourtant le docte dodu
L'avait bien pressenti
Nous ne nous serions jamais rendu
Si loin chez les Ashantis

Notre coquille de noix
absorbait l'eau saline
Tel une éponge que moi
aurait trempée dans la bassine

L'affliction dont souffrait Jano
nous sortit de ce mauvais pas
Il suffit de traiter son bobo
pour se trouver avec des glaviots
qui servirent à colmater notre rafiot.

Et aussi
C'est ainsi
Que je lé choisi
Et j'ai réussi

J'ai rêvé d'elle, et nous nous pardonnions
Non pas nos torts, il n'en est en amour,
Mais l'absolu de nos opinions
Et que la vie ait pour nous pris ce tour.
Simple elle était comme au temps de ma cour,
En robe grise et verte et voilà tout,
(J'aimai toujours les femmes dans ce goût),
Et son langage était sincère et coi.
Mais quel émoi de me dire au débout :
J'ai rêvé d'elle et pas elle de moi.

Elle ni moi nous ne nous résignions
À plus souffrir pas plus tard que ce jour.
Ô nous revoir encore compagnons,
Chacun étant descendu de sa tour
Pour un baiser bien payé de retour !
Le beau projet ! Et nous étions debout,
Main dans la main, avec du sang qui bout
Et chante un fier 'donec gratus'. Mais quoi ?
C'était un songe, ô tristesse et dégoût !
J'ai rêvé d'elle et pas elle de moi.

Et nous suivions tes luisants fanions,
Soie et satin, ô Bonheur vainqueur, pour
Jusqu'à la mort, que d'ailleurs nous niions.
J'allais par les chemins, en troubadour,
Chantant, ballant, sans craindre ce pandour
Qui vous saute à la gorge et vous découd.
Elle évoquait la chère nuit d'Août
Où son aveu bas et lent me fit roi.
Moi, j'adorais ce retour qui m'absout.
J'ai rêvé d'elle et pas elle de moi !


Princesse elle est, sans doute, à l'autre bout
Du monde où règne et persiste ma foi.
Amen, alors, puisqu'à mes dam et coût,
J'ai rêvé d'elle et pas elle de moi.

C'était pas vraiment mes rimes
J'ai prit un poème sur le net par hasard
Un poème supposément connu et sublime
Je vous est menti comme un conard...

Et je dit

Allons vers la mer

La ou les cheval

Ne court pas

Mais nage a contre courant

Dans le fond des Océans

Certains Les nommes Hyppocampe

Moi je les nommes les Chevals Nageur

Immobile a la surface

Ils cachent leur face

Le seul visage que l'on peut voir

Ce cache dans le noir

Aveugle au fond de l'océan

Reflétant les Hyppocampe

Les yeux de la pieuvre se font menacant

Au fond de l'océan

J'y plonge et reste dedans

Trop beau pour être vrai
Voyons Dabsty! J'y ai presque cru
Mais au fond de moi je doutais
Que ces mots n'étaient pas de ton crû
Pourtant quelque chose me dit
Qu'il existe un poète
Dans l'âme de Dabsty

Mais Poule oh! dis-moi
Que ces rimes viennent de toi
Moi qui crois en toi
Moi qui aime te lire
Moi qui aime ton délire

Je plongerai avec toi
Je sais que tu m'attraperas
Avant que je me noie

Très poétique ces chevaux de l'océan qui nagent à contre-courant.

Oh mes biens sûr

Demoiselle des eaux troubles

ce que j'écris

Vient de mes folies


Des plus extrêmes

au plus Jolies

Peut-être suis-je trop ptit
Pour écrire des poèmes aussi beau
Mon expérience n'est pas Bati
Mais La persévérence sera mon marteau...