Ici, je ris d'un pauvre homme.

https://www.journaldemontreal.com/2018/11/11/harcele-par-1500-textos-de-son-ex-en-2-mois

C'est drôle en TBK.

journal a écrit:

« Si j’avais été une femme, et elle un homme, on l’aurait arrêté tout de suite », croit-il.

La tapette a écrit:

Léopold Stéphane Lévesque a planifié longtemps à l’avance son départ du domicile familial de Saint-Rémi, en Montérégie, à la fin juillet 2016.

Cela faisait un moment qu’il y songeait, mais indique que sa conjointe contrôlait ses finances.

Il a mis quelques semaines à accumuler 20 $. Il pouvait mettre de la monnaie de côté quand les enfants revenaient avec du change. Il a même dû ramasser des bouteilles et aller les échanger au dépanneur pour réussir à partir, selon lui.

HAHAHA. Pauvre victime.

Minable sous-homme. De plus en plus ce scénario se produit alentour de moi. Un vrai show d'humour. Y'en a un qui est rendu a l'esclavage, pas de farce, et il doit TOUT faire, et surtout s'occuper de son enfant lourdement handicapé. Elle est le pire tyran que j'ai vu, et lui, cette larve, je lui ris en pleine face de ces misères. Y'a rien d'autre a faire avec ca.

Je vais, pour toujours, rire et dénigrer ces minables. Aucune pression sociale n'arrivera a briser ca.

Mais les hommes sont comme ça parce que l'environnement social nois conditionne à être de types comme ça, parce que la loi et la façon dont elle est interprété engendre ce genre de situation.

Tu me fais rire Gilbert, t'es tellement macho que tu refuses d'imaginer qu'un homme puisse souffrir de problème psychologique, qu'il soit manipulé par une femme ou que l'environnement social favorise cette inégalité de traitement.

Gilbert refuse la mentalité de victime.

C'est une position d'honneur.

Mais évidemment, appliqué à toutes les sauces, c'est une position que je qualifierais d'extrême.

Il arrive qu'un homme soit brisé et que pour diverses raison, il ne se relève pas et soit soumis à son entourage.

Ce genre de choses arrive depuis toujours. Même aux temps dits machistes et paternalistes, des grosses matronnes à moustache égoïstes dominaient leur mari, et donc leurs enfants.

Le frère d'un ami a découvert sa mère décédée après qu'elle se soit tirée un coup de 12 dans la tête. D'un type déjà plutôt faible d'avance, il n'est jamais redevenu normal. Il est devenu une loque humaine. Dominée par la nouvelle flamme de son père, une grosse matronne épaisse qui contrôlait sa famille avec le bâton et la carotte. Le bâton était pour ce fils qui ne lui inspirait pas grand chose de bon. Son frère, un peu plus jeune, son préféré, recevait la carotte, les compliments. Le père innocent et faible avait son sexe et ne se souciait pas d'avoir fait entrer le diable dans sa maison. Le plus jeune des deux frères, mon ami, celui qui recevait la carotte, le seul avec encore assez de force mentale, n'était pas tellement plus fort. Il a laissé tomber l'école assez jeune. Il a commencé à fumer comme son père et est aussi tombé dans l'alcool notamment, comme son père. Il conduisait parfois après avoir bu. Il meurt à environ 25 ans dans un accident d'auto. Autre drame familial qui a, bien sûr, affecté son frère durement. C'est grosso modo lui qui amenait la maison à respirer un peu, en y amenant ses amis notamment.

Cet ami aurait pu s'en sortir. J'était évidemment triste de son décès, mais c'est le karma qu'il s'est créé. Sa vie assez difficile ne l'excuse pas d'être mort de manière aussi stupide. Mais pour son frère, déjà d'une condition mentale précaire, je ne lui trouve pas d'issue. Pourtant il s'était trouvé une job d'emballeur dans une épicerie. Peut-être que pour lui c'est mieux que le BS. Sauf qu'à l'imaginer avec une femme, je ne saurais penser à autre chose qu'une relation dominant-dominé. Je ne rierais pas de lui pour autant. Il n'y aurait qu'un sentiment acceptable: la compassion.

megalomarc a écrit:

Je ne rierais pas de lui pour autant. Il n'y aurait qu'un sentiment acceptable: la compassion.

Pas question pour moi de pleurnicher avec lui sur son sort.

Tu as une vision un peu basique de la force et des faiblesses et une vision un peu trop Darwiniste de la société.

Hors ce qui caract"rise l'humain c'est sa compassion, le fait que les plus faibles comptent et que dans la société humaine les plus forts aident les plus faibles.

Gilbert Du Motier a écrit:

megalomarc a écrit:

Je ne rierais pas de lui pour autant. Il n'y aurait qu'un sentiment acceptable: la compassion.

Pas question pour moi de pleurnicher avec lui sur son sort.

Dans le fond tu as raison qu'il y a toujours une issue. Mais les pauvres gens ne la voient pas toujours.

J'ai déjà connu une histoire d'un rescapé de l'Holocauste qui avait réussi à être heureux dans les camps de concentration. Il avait profité des conditions extrêmes pour travailler sur sa force mentale, qu'il avait rendu à toute épreuve. Il est devenu psychiatre. Ce gars ne s'est jamais défini comme une victime.

Il est toujours possible de faire triompher sa volonté. Le problème, c'est que les gens n'en sont pas conscients, et qu'ils ne savent pas comment chercher les solutions.

Tout le monde ne peut pas gravir l'Evrest, ça prend des qualités physiques et psychologiques exceptionnelles.

Est-ce qu'il faut pour autant mépriser ceux qui n'y arrivent pas. Je ne crois pas.

Qu'est-ce que tu veux faire Le Grand Leader? L'encourager dans sa faiblesse?

En plus, il a failli a son rôle de père en laissant ses enfants chez cette folle la.

Le gars a développé une phobie envers un laideron de 125 livres.

Quand ma mère perd le nord en voyant une araignée, je ne cris pas a plein poumon avec elle. D'abord je ris, ensuite je lui fait réaliser la stupidité totale de sa réaction, ensuite, en final, je la libère en tuant l'insecte. Si l'araignée était vraiment venimeuse et dangereuse, sa réaction stupide augmenterait par 1000 son risque.

Aujourd'hui, elle me surprend. Elle écrase les araignées avec violence et en lui parlant ''KIN ma crisse!''.

On aide pas les faibles en embarquant dans leur faiblesse.

Faut rire, et rire de tout, faut rire tout le temps, et de tout le monde. Ce type est ridiculement faible, libre a lui d'être autre chose, et ca peut se faire dans l'heure qui suit.

Gilbert Du Motier a écrit:

Qu'est-ce que tu veux faire Le Grand Leader? L'encourager dans sa faiblesse?

Je dis simplement qu'il ne faut pas être aussi systématique et expéditif dans ton jugement.

Gilbert Du Motier a écrit:

On aide pas les faibles en embarquant dans leur faiblesse.  

C'est vrai, pour autant rire d'eux ne les aide pas forcément non plus.

Le Grand leader (Le Grand Leader) a écrit:

Gilbert Du Motier a écrit:

On aide pas les faibles en embarquant dans leur faiblesse.  

C'est vrai, pour autant rire d'eux ne les aide pas forcément non plus.

Ca leur envoie le signal que leur comportement est ridicule, au moins.

Le plaindre envoie le signal qu'il est RÉELLEMENT victime de quelque chose. Ca gars la est victime de lui-même.

Cette pâte molle va être a Denis Lévesque. Je vais essayer de l'écouter.

Il aime bien les kodaks.

Commentaire lu sur Amazone.ca a écrit:

After the war, that view got Frankl in trouble with a lot of people, because he refused to blame all Germans, or even all Nazis. In fact, Frankl's whole life experience and the message he shares is one of not blaming others for what has happened to you. Coming from an Auschwitz survivor who lived what he preached to the ultimate degree, it's a message that has helped many thousands of people.

https://www.amazon.ca/Recollections-Autobiography-Viktor-Frankl/dp/0738203556/ref=sr_1_8?ie=UTF8&qid=1542081853&sr=8-8&keywords=victor+frankl

Imaginez-vous les réactions des féminazies après avoir entendu ce gars là.