Antidépresseur/grossesse/autisme.

http://www.lapresse.ca/vivre/famille/sante-des-enfants/201512/14/01-4930951-grossesse-prendre-des-antidepresseurs-augmente-de-87-le-risque-dautisme.php

«Les conclusions de l'étude sont importantes. Surtout que l'on sait que 6% à 10% des femmes enceintes québécoises prennent des antidépresseurs»,

C'est pas drôle.

Si vous n'en voulez pas d'enfants, ayez le courage de ne pas en faire.

Une société de gelés légaux. A mes frais.

Imaginez le nombre de garnottes que ca doit prendre ce monde la, un coup que le bébé se met a brailler. Pilule pour dormir, pilule pour se lever, pilule pour l'humeur...

C'est rendu qu'on paye le pot a des osti de crapule qui savent quoi dire aux médecins, qui lui, s'en câlice comme l'an 40, et est devenu qu'un vulgaire pusher.

10% des femmes enceintes sur les bonbons.

Qui osera arrêter le party en psychiatrie?

C'est rendu un style de vie. J'suis entouré de faibles sur les pilules. On arrache ca sur ma paie, je n'ai pas de médecin de famille depuis 20 ans, et je paie la faiblesse, OUI FAIBLESSE, et la DROGUE, des autres.

Gens sur les antidépresseurs, vous êtes des larves et je me contre-criss de vous. Payez votre stuff, et arrêtez de décrisser les générations futures avec votre consommation.

Gilbert Du Motier a écrit:

C'est rendu qu'on paye le pot a des osti de crapule qui savent quoi dire aux médecins, qui lui, s'en câlice comme l'an 40, et est devenu qu'un vulgaire pusher.

10% des femmes enceintes sur les bonbons.

On sait par ailleurs que les dépressions légères ne sont pas beaucoup mieux traitées avec un antidépresseur qu'avec une pilule de sel placebo. C'est de l'ordre de 5 à 10% plus efficace que le placebo. C'est à dire que pour 100 personnes qui font une légère dépression, il y en a en moyenne 5 à 10 pour qui la pilule antidépresseur aura un réel impact. C'est donc qu'on paye ces antidépresseurs à des milliers de femmes pour qui ça n'a aucun effet !

Et aussi, je serais curieux de savoir si prendre ces affaires là n'a pas d'effet sur le développement de l'enfant. Habituellement les femmes enceintes font attention de ne pas boire ou se droguer pendant la grossesse. L'antidépresseur étant une drogue légale, ça peut donner l'impression que c'est inoffensif, ce n'est peut-être pas le cas.

Effectivement, la psychiatrie est en plein dérapage. On est en train de médicamenter des moments de la vie normale des personnes. Bientôt on prendra une pilule quand on aura un deuil, après une chirurgie, après un divorce, après un échec amoureux, ou un échec scolaire...

megalomarc a écrit:

Et aussi, je serais curieux de savoir si prendre ces affaires là n'a pas d'effet sur le développement de l'enfant. Habituellement les femmes enceintes font attention de ne pas boire ou se droguer pendant la grossesse. L'antidépresseur étant une drogue légale, ça peut donner l'impression que c'est inoffensif, ce n'est peut-être pas le cas.

Ah ben câlinne, j'avais pas lu l'article, mais c'est en plein ça !

Citation :

Grossesse: prendre des antidépresseurs augmente de 87% le risque d'autisme

megalomarc a écrit:

On est en train de médicamenter des moments de la vie normale des personnes. Bientôt on prendra une pilule quand on aura un deuil, après une chirurgie, après un divorce, après un échec amoureux, ou un échec scolaire...

C'est en plein ce que je pense.

C'est rendu anormal d'être malheureux.

C'est un mécanisme de protection qui nous sort de notre situation. La drogue nous pousse a rester dedans éternellement.

Ils nous font chier avec les idées suicidaires, j'pense que ces drogues ont assez mauvaise réputation a ce niveau. A force de s'enfoncer et de tourner en rond dans une situation qui nous est intolérable sans drogue...La moindre défaillance, la moindre tolérance a notre dose habituelle.... On ne l'accepte sereinement jamais, on reste dedans, on ne fait pas le deuil...vogue la galère.

Gilbert Du Motier a écrit:

Ils nous font chier avec les idées suicidaires, j'pense que ces drogues ont assez mauvaise réputation a ce niveau. A force de s'enfoncer et de tourner en rond dans une situation qui nous est intolérable sans drogue...La moindre défaillance, la moindre tolérance a notre dose habituelle.... On ne l'accepte sereinement jamais, on reste dedans, on ne fait pas le deuil...vogue la galère.

Oui c'est exactement ça. Si tu souffres à cause d'une erreur majeure que t'as fait en situation de couple par exemple. Te geler quand ça ne marche plus va complètement annuler ta capacité d'apprendre de cette erreur.

Je me demande si par la bande, on ne crée pas une génération de futurs psychopates sans âmes et sans empathie pour leur prochain.

Pour avoir de l'empathie, il faut avoir déjà ressenti la souffrance. Mais si à chaque fois que tu as à ressentir une souffrance, on te gèle, tu perds complètement cette faculté à comprendre les malheurs des autres.

Ça crée donc des individus complètement déconnectés de leur milieu, qui n'ont de respect que pour leur baromètre interne qui les avise quand ils ont une souffrance, vis à vis de laquelle ils appliqueront un "remède", c'est à dire un divertissement, un souper au resto, ou un antidépresseur.

Ça crée un autre effet, celle que ces gens là ne seront plus capables de tolérer la moindre petite atteinte à leur bonheur. Une souffrance jugée insignifiante par quelqu'un de normal, va être considérée comme intolérable par ces personnes qui se sont habitués à se geler quand ça n'allait pas.

L'histoire des idées suicidaires, c'est une forme de chantage du milieu de la psychiatrie.

Parce que quelques uns risquent de se suicider, il faut médicamenter une portion significative de la population lorsqu'ils font l'expérience des souffrances de la vie quotidienne. Il ne faudrait pas ne pas médicamenter, au cas où. On ne voudrait pas avoir ça sur la conscience, n'est-ce pas ? Cette logique fait en sorte d'aller de l'avant avec d'innombrables diagnostics de dépression (légère ou pas), et des ventes massives d'antidépresseurs qui suivent le diagnostic. Les compagnies pharmaceutiques doivent jouer cette carte à fond.

Nouvelle étude sur le sujet.

En lisant le titre de l'article, je me suis tout de suite demandé si l'industrie des antidépresseurs avait rapidement voulu démentir l'autre étude.

Aucun lien entre antidépresseurs et autisme, selon une étude américaine

Citation :

Les scientifiques américains ont noté une incidence accrue d'autisme et de TDAH chez les enfants nés de mères qui avaient pris des antidépresseurs avant leur grossesse, mais aucune augmentation chez ceux nés de mères qui en ont pris pendant leur grossesse.

Ils ont aussi noté que les enfants nés de mères traitées en psychothérapie avant leur grossesse étaient nettement plus à risque de souffrir d'un des deux problèmes, ce qui semble renforcer le lien avec la dépression maternelle.

Une autre étude de la professeure Bérard, publiée par le British Journal of Clinical Pharmacology, prévient toutefois que la prise d'un antidépresseur - la paroxétine - pendant le premier trimestre de la grossesse peut augmenter le risque de malformations congénitales ou cardiaques.

Donc, selon cette étude, ce n'est plus l'antidépresseur qui a un effet sur le risque d'autisme, mais bien la dépression elle-même. La question que je me pose, c'est pourquoi ces mères sont dépressives si elles prennent des antidépresseurs ? N'est-ce pas que le médicament casse le symptôme de la dépression ? Alors si la dépression est la seule cause du plus grand nombre d'enfants autistes, pourquoi il y a encore autant d'autismes chez les mères qui prennent des antidépresseurs ?

http://www.lapresse.ca/actualites/sante/201601/06/01-4937060-aucun-lien-entre-antidepresseurs-et-autisme-selon-une-etude-americaine.php