Assistance-sociale question de mentalité plus que nécessité

Excluant les cas patents -- exemple: débilité profonde, handicap physique majeur -- l'assistance sociale est beaucoup plus une question de mentalité que de nécessité.

Une majorité de Québecois sur l'assistance sociale n'auraient jamais dû y être acceptés.

J'ai plein d'exemples en tête de personnes qui se laissent glissées sur l'assistance-sociale et en font leur mode de vie, demandant voire exigeant que l'Etat assure à perpétuité leur sécurité financière.

Il y a comme un cheminement et un modus operandi. On pourrait parler de modèle québecois de l'assistance-sociale -- au sens large et sous toutes ses formes.

Je ne connais pas le cas du Québec mais je pense que c'est excessif et que dans bon niombre de cas ça reste quand même une solution temporaire efficace.

Tu fais juste ça pour provoquer ce pauvre Titoine qui fait des efforts pour trouver un nouveau job.

Le cas de Titoine est assez représentatif, mais j'ai plusieurs personnes en tête.

Il y a la monoparentale qui va demander à l'Etat de subvenir à ses besoins et ceux de ses enfants, alors que le père va être décharger de toutes ses responsabilités et ne venir la sauter que les week-ends.

Il y a les faux accidentés du travail, où un mal de dos mineur plus ou moins imaginaire va devenir une invalidité totale et permanente.

Il y a les étudiants qui vont végéter sur les bancs de l'école à n'y rien faire ou dans des programmes totalement inutiles et flamber leur Bourse dans des voyages à l'étranger.

Il y a les vieux qui, même riche, font avoir plein de réductions juste parce qu'ils ont 65 ans et plus.

Et oui c'est à se prix là qu'on gagne un peu quand même en protection sociale.

Mais ça n'est pas parceque quelqu'un est sur le BS qu'il devrait accepter n'importe quel boulot, ilk est noral qu'il lui soit accorder un certain temps pour se retrouver un boulot dans la cadre de ses ambitions et de ses compétences.

Kossé tu fais dans vie sharl?

Il ne veut pas nous le dire. C'est pas le premier à porter un jugement sur les agissements des autres mais lui n'est pas prèt à passer sur le grill de l'inquisition.

Il passe la journée dans un centre d'achat à observer les gens. Avec l'information qu'il a recueilli il va sur un forum et expose les résultats de ses recherches sur le genre humain.

Il dois faire un boulot de bureau chiant mais nécessitant des competances assez spécifique genre expert comptable.

Une chose est sûr, il ne doit pas travailler en équipe.

Pourquoi ? Je ne suis pas certain que Sharl soit difficile à vivre, tant qu'il ne saoule pas ses collègues avec l'impermanence il doit être pas mal comme collègue.